ÂGE : Flurry possédant quatre ans de plus que sa sœur, il porte donc vingt-trois années de martyre.
ORIENTATION SEXUELLE : Ouech, je ne sais pas encore.
CAMP : Officiellement neutre dans cette salade, officieusement Al-Thamen.
GROUPE : Il appartient au groupe d’Al Thamen, depuis que sa sœur l’a quittée. Mais aux yeux de nombreuses personnes il semble neutre, ne divulguant que très peu d’information sur sa personne.
STATUT : Tout comme sa sœur, il est un magicien de feu.
CAPACITÉ(S) : Ce jeune homme semble très douer au corps à corps, du moins surtout pour esquiver les attaques ennemis. Il ne semble pas être capable de se battre avec son faible corps, même utiliser la magie pourrait s’avérer dangereux pour sa personne. En l’occurrence, ses capacités spéciales demeures dans sa psychologie et son maniement des couteaux.

Caractère (cinq lignes minimum) :


Il est répugnant, aussi bien pour ses sentiments que pour son corps salement souillé par le plaisir de sa sœur. Mais derrière cette psychologie détestable repose un amour familial pour cette précieuse petite sœur à qui il pourrait donner sa vie, même s’il est certain que ça n’arrivera jamais. Détestable disent-ils de lui ? J’ai le regret de vous annoncer qu’ils ne mentent pas, cet homme du nom de Flurry est véritablement infernal. Oubliez donc Survival, cet homme ne lui ressemblera jamais parce qu’il est l’homme capable de la dressée. Il est son frère, le seul et l’unique possédant la même chaire que la personnification du désespoir. Et ils sont pourtant si différents…

La compréhension est inexistante dans son caractère, à aucun moment il ne tentera de comprendre les sentiments de qui que ce soit. Après tout dans cette mémoire inexploitable repose un unique sentiment le gardant encore en vie ; l’égoïsme, ce sentiment impur imbu de sa personne prend possession de sa psychologie. Elle défaille chaque parcelle de ses neurones, l’emprisonnant dans un cauchemar impérissable. C’est grâce à ce sentiment monstrueux qu’il a toujours obtenu ses plaisirs les plus malsains, oubliant même la peur qu’il ressentait lorsqu’il n’était qu’un enfant. Les personnes qui avaient été importantes pour lui devinrent des jouets amusants de pars leurs jouabilités et leurs manipulations.  Du fait qu’il possède cette impression de tout contrôler il sous-estime constamment ses adversaires et néglige forcement sa méfiance vis-à-vis d’eux.  Mais après tout n’est-ce pas normale lorsque nous possédons une intelligence aussi sophistiquer que la sienne ? Grand joueur d’échec étant enfant, il prend le temps de réfléchir et disposer ses pions à des endroits cohérents en espérant augmenter la durabilité de ses derniers ainsi que de leurs folie dévastatrice, tel un jeu d’échec sauf que l’échec et mat n’est pas envisageable pour le jeune homme.  Mais même en faisant preuve d’intelligence cet homme n’est plus considéré comme un être-humain, il n’est rien d’autre qu’un tyran prenant plaisir de la souffrance d’autrui. Après tout ce n’est pas pour rien qu’Al Thamen l’ait choisi. Il est le frère de la personnification du désespoir, incarnant le péché de l’orgueil. Lui-même est condamné à la rejoindre au purgatoire pour les crimes qu’ils auraient commis.

Même en possédant autant de défauts, Flurry reste une personne incroyablement joyeuse. Il est difficile de ne pas le détester en voyant ce sourire ahuri sur son visage et en l’entendant prononcer autant d’obscénité familièrement. Evidemment, notre jeune homme ne reste poli qu’en présence de féminité intéressante telle que sa sœur, dans l’espoir d’évité qu’elle ne puisse le détester. Grâce à ce genre d’information, je peux vous assurez que cette partie de son caractère reste conforme à celui de Caragh. Tout comme elle, il porte généralement un masque souriant et arrogant pour advenir à ses besoins.  La comédie étant un pion essentiel pour notre amateur d’échec et possesseur d’une incroyable mémoire philosophique. Aillant appris la compétence du mensonge avec sa très chère Caragh, il est capable de jouer la comédie de manière naturelle. Ce qui ne fait que prouver qu’il est doté d’une grande compétence de manipulation malgré qu’il puisse posséder des mimiques étranges et un sang-froid indescriptible.

En prenant en compte toute ces informations, il est facilement devinable que notre Flurry est détestable. Ses relations avec le monde extérieur sont souvent accompagnées de diverses bagarres, qu’il n’hésite pas à fuir lâchement ou à détourner l’intention des agresseurs en amenant leurs ennemis. Mais cela ne veut pas qu’il n’est pas digne de confiance, au contraire qu’est-ce qu’il aime apprendre de nouvelle chose concernant différentes personnes. Et il ne fait que revendre les informations qu’il appréhende en criant, évidemment, le nom de sa sœur à droite et à gauche dans l’espoir de la retrouvée (D’où le fait qu’elle a abandonné le nom de Caragh). Mais n’oublions pas que Flurry n’est pas idiot, jamais il ne donnerait des informations importantes à son ennemi sans aucune contrepartie en échange. Derrière chacun de ses actes se cache un but bien précis qui l’amènera à ce que Caragh vienne le rejoindre à Al-Thamen.      

Mais certaine partie de son caractère reste encore bien trop complexe pour l’expliquer, comme l’envie meurtrière qui la possédé dans le passé…

Physique (cinq lignes minimum) :


Des cheveux courts, très souvent en bataille et qui s’arrête sagement au début de sa nuque. Ils sont fréquemment cachés par la capuche de son long manteau qui s’assortit parfaitement à la couleur ébène de sa fine chevelure, même si le but principal de cette dernière n’est pas de cacher ses nombreux épis. Malgré que ses mèches s’entremêlent facilement, cela lui vaut de nombreux compliments concernant la beauté de ces derniers qui ne fait que prouver à quel point ses cheveux peuvent être fins. Mais alors pourquoi les cachés par le biais d’une capuche ? L’utilisation de cette dernière possède une utilité bien particulière, en effet elle sert à difficilement révéler son visage aux personnes un peu trop curieuses. Après tout il ne faudrait pas qu’elles s’éprennent de lui, son visage au bout pointu n’est pas dénué de magnificence et ce jeune homme dénommé Flurry n’est pas emmerdant à admirer. Son nez à l’apparence pointu concorde parfaitement avec les traits fins du reste de son visage et agrémente les différentes expressions qu’il peut exprimer habituellement. En particulier celle de son sourire épatant, dévoilant ses nombreuses dents parfaitement alignées et resplendissante d’une couleur immaculée. Vous l’auriez compris, il s’agit d’une des rares personnes possédant un beau visage, non dénué de couleur, et un charme difficilement remarquable de pars cet horrible caractère. Néanmoins malgré qu’il soit vraisemblablement invivable – sinon Survival n’aurait jamais fuis, il suffit de se trouver devant lui pour rapidement se rendre compte que sa carrure est loin d’être imposante. En effet il mesure cent soixante-quinze centimètre pour cinquante-huit kilogramme, de corpulence mince en plus de posséder une santé fragile.  Ses bras peuvent paraître tellement faible qu’ils pourraient se briser à un contact brusque, mais ce n’est qu’en apparence. Il ne faut jamais le sous-estimer, peut être que son corps paraît fragile mais il fait preuve d’énormément d’habilité, tel un félin. En plus de ses capacités acrobatiques le jeune homme est rapide et intelligent,  mieux vaut ne jamais l’avoir comme ennemi et surtout ne jamais le sous-estimer pour cause de sa santé. Depuis qu’il est enfant, Flurry possède un corps sensible comme tous les magiciens, même Caragh est très fragile malgré qu’elle le cache habituellement. Mais une petite coupure, ou si c’est vraiment plus grave ; une côte perforer par exemple, est vraiment plus douloureux et plus grave que pour les gois.  Seulement ce jeune homme s’est tellement battu étant enfant que son corps ne supporte plus les coups, lorsque l’on joue avec le feu nous nous brulons avec.


Son style vestimentaire prouve bien, une fois de plus, sa maturité. Ou peut-être serait-ce son goût plutôt prononcé pour les habits au style décontracté tel que son magnifique manteau noir à la fourrure beige d’une couleur cassé, qui s’assortit parfaitement avec la couleur brune écarlate de ses prunelles. Il ne s’en débarrassera jamais, après tout ce manteau lui a été offert en même temps que le gilet aux oreilles de lapins appartenant à Caragh. Cette élégante veste s’arrête au niveau de sa taille somptueuse, dévoilant un chandail à couleur unique, noir. Et s’engouffrant dans son merveilleux pantalon aux tons sombres, soutenu par son unique ceinture noir et… métallique. Pour terminer en beauté je vous parlerais de ses splendides soulier – toujours de la même couleur ; noir, que son pantalon recouvre proprement.    

Ce merveilleux coucher du soleil éclairait joyeusement leurs visages, alors que des larmes vagabondaient librement sur ce visage crispé, créée par la douleur d’une chute surprenante. Flurry, qui serrait fortement sa main, passa ses doigts mignards sur la petite joue de sa précieuse sœur, essuyant ses magnifiques gouttelettes s’échappant de ses yeux bruns. Il entama la consolation en dessinant un large sourire sur son visage pâle : « Ne t’en fais pas, c’est surement ce vilain crépuscule qui te joue un tour. » Puis, par la suite, il l’aida à ce relevé en prétextant qu’il était tard et qu’il fallait rentrer avant que la nuit ne tombe. Papa et maman vont s’inquiétez. Et ils reprirent leur route, sur cette plage fantomatique ou seul le crépuscule régnait encore en ces lieux. Mais la petite ne pouvait détournée son regard d’un endroit spécifique. Flurry, inquiet, lui demanda poliment si quelque chose n’allait pas. Mais elle ne daignait lui répondre immédiatement, attendant patiemment qu’ils furent assez loin. « Nous devrions rentrer avant qu’il nous dévore. » Malheureusement, Flurry ne compris que plus tard.


Le lendemain, ils revinrent à cet endroit. Le jeune adolescent semblait remplir d’admiration devant l’expression de sa sœur, qui observait encore et toujours le même endroit. Il se risquait de demander, encore une fois, la raison de cette frayeur et, comme à son habitude, elle ne daignait lui répondre. Embêtée par le caractère têtu de sa sœur, il dirigea son regard chocolat vers le morceau de pain qu’il tenait dans sa main et croqua à pleine dent la précieuse nourriture sous le regard indifférent de sa sœur. Comparée à lui, cette dernière le coupa maladroitement en deux et le tendit misérablement dans le vide : « Je compatis avec toi, partageons mon goûter. » Flurry, ne comprenant visiblement rien, s’empressa d’étouffer un rire avec sa main. Etait-elle folle ? Alors qu’il allait récupérer le bout de pain qu’elle tendait, ce dernier disparut mystérieusement. Les yeux chocolat de notre garçon ne tardèrent pas à voire la monstruosité que percevait sa terrible sœur et, sous le coup de la frayeur, trébucha en tentant de reculer. Caragh, sa sœur, détourna son intention du démon, tournant son regard devenu d’une couleur écarlate vers son frère pour lui tendre la main : « C’est certainement ce vilain crépuscule qui te joue un tour, Flurry. Mais ne t’inquiète pas, je te dirais plus tard le fabuleux secret de cette mer ainsi que de son habitant. »

Petite explication.:

Il l’avait sauvé de ce destin misérable, détruisant l’obscurité qui engouffrait sa sœur dans les profondeurs des ténèbres. Du moins, c’est ce qu’il croyait. Mais on dirait qu’au contraire, il plongeait avec elle dans ce ramassis de désespoir. Lors de ses dix-huit ans, Flurry avait essayé de la sauvée, de la sortir de la maison close. Il avait fait divers sacrifices pour elle, tel qu’abandonner sa nouvelle famille dont il se servait pour aboutir à ses fins. Misérablement, tout se déroula si vite, les évènements ne tardèrent pas à s’enchaînée ; Caragh fût de nouveau en contact avec la lumière du jour, au moment où elle se croyait abandonnée à son sort, Flurry était là et l’avait sauvée. Puis Caragh succomba au péché de la gourmandise, dévorant sa demi-sœur. Et enfin, Flurry succomba à un péché, en plus d’être l’orgueil il sera l’envie.

Pourquoi est-ce qu’elle le fuyait ? Il devait la protégée, c’était son devoir. Ils lui avaient dit de le faire. Quoi de mieux que de mettre fin à toute ses douleurs lui-même ? Ou devrait-il la gardée à ses côtés pour toujours ? D’une certaine manière ce qu’il fait est-ce mal ? Avons-nous véritablement le droit de juger ses actions ? Quel est la définition de ce qui est « mal » ? Il ne sait plus, la seule personne qui pourrait le ramener à la raison s’enfuit avec cet air effrayée sur son visage. Enfin de compte, il était aussi souillé que sa terrible sœur.  […] Il sentait encore l’entaille, la lame d’acier transpercer sa chaire savoureuse et l’exquise douleur qu’il avait ressenti, quoi qu’il en soit il doit simplement la retrouvée.      

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