« Pour chaque bout d’espoir que tu souhaites, une quantité équivalente de désespoir se répand sur le monde. » PV • Survival & Jafar.

**Invité** Invité

Tu étais formidable. J’étais fort minable.
Nous étions formidables.

Le soleil illuminait chaleureusement la place ; les oiseaux chantaient, les habitants riaient et les enfants s’amusaient. Cela s’avérait être une magnifique journée qui la bercerais de toute bonté. Elle qui était cachée dans l’ombre de toute cette joie, tant recherchée par les alliée de cette patrie, était une personne fort mécontente de cette journée fatidique. Il fallait comprendre son cerveau méthodique, la luminosité était le principal ennemi de notre espionne qui agissait dans l’ombre et préférait désespérément l’obscurité. Imaginons que ces ennemis soient du même avis que notre femmelette, ils seraient alors cacher au même endroit qu’elle-même le serais, en prenant en compte leurs idioties d’ennemis. Certainement les catacombes, elles peuvent certes êtres secrètes elles restent le meilleur endroit pour se cacher de la luminosité, mais surtout des gardes. Malheureusement ou heureusement pour eux, Survival ne travaillait guère aujourd’hui et était sagement restée dans le palais de sa majesté. Rare sont les moments où elle y passe du temps. Habituellement elle n’y est guère ou seulement pendant très peu de temps pour éviter que ses ennemis ne découvrent qu’elle appartienne au clan de Sinbad, le roi de Sindoria. Mais ce jour-là était différent, elle devait soumettre son rapport au conseiller de ce pays. Il se nommait Jafar lui semblait-il, et elle ne lui avait adressé la parole que très rarement. Pourtant, la première fois que leurs regards s’étaient croisés, elle avait ressenti une forte crainte pour le jeune homme qui l’intimidait. Il était donc inutile d’énoncée que la lapine stressait à l’idée de cette rencontre pour le travail. Si elle possédait le choix de rester ou bien de partir, elle choisirait la deuxième possibilité et tenterait de n’avoir aucun contact avec cet homme intimidant. Mais cela ne se décidait pas.

Située loin des deux fenêtres qui illuminait la pièce. Survival ne s’était pas gênée pour déplacée le sofa, en espérant pouvoir trouver une quelconque tranquillité loin de la lueur du soleil. Malheureusement pour elle, malgré qu’elle se soit allongée négligemment sur ce dernier, il semblerait qu’elle ne puisse trouver une quelconque tranquillité avec un sentiment qui prenait autant de place dans son esprit. Le stress commençait à prendre une ampleur fortement désagréable et elle ne savait comment y remédier. Peu de solution s’offrait à elle, encore une fois. Une nouvelle décision était à prendre ; essayer de canaliser ses sentiments ou simplement prendre la fuite, mais cela pourrait être considéré comme un acte de lâcheté et ne fera que mauvaise impression sur sa personne, surtout s’il venait à rapporter cela au Roi. Notre lapine entrouvrit ses lèvres pulpeuses pour laisser libérée un soupire lourd et rempli d’ennui.
Lorsque le bruit insupportable du grincement de cette horrible porte parvint à ses oreilles, ce fût instinctivement qu’elle sauta derrière le sofa. C’était certainement lui, le terrible Jafar. Un bout de sa tête apparut brusquement, ses deux rubis inspectant la personne qui venait d’entrer dans cette pièce illuminée. D’un coup de main rempli d’agressivité, elle rapprocha le bout de sa capuche en tissus de son visage pâle aux traits grossier, créées par son sentiment de dangerosité envers l’homme qu’elle ne connaissait pas mentalement. Elle ne perdit pas plus de temps à le relooker du regard et avoua de suite la couleur :

- « Ne t’approche pas de moi de plus de quinze mètres, tu m’entends ? Quinze misérables mètres. Nom d’un cul. »

Elle ne s’était pas abstenue de vulgarité envers le pauvre jeune homme qui ne devait pas comprendre grand-chose à la situation qui se livrait à lui. C’était toujours la même personne qui ne souhaitait pas donnée mauvaise impression ? Certainement pas, cette fillette était tellement difficile à suivre, mais elle savait qu’elle était la meilleure quoi qu’il pourrait arriver. De plus, quinze mètres, cela reflétait à quel point elle était désespérée face à cet adversaire. Survival, précédemment accroupie par terre pour se cacher de l’inconnu, se leva brusquement en plongeant ses mains dans les poches de son gilet obscur. Un sourire malsain se dessina sur son visage alors que ses yeux se remplissaient d’un sentiment malappris.

- « Souhaites-tu que je te racontes mon rapport en détails ? ah ! Ca ne conviendrait certainement pas à une personne aussi pure que toi. Ce serait bête que je te corrompe avec de telles paroles. »

Tu es formidable. Je suis fort minable.
Nous sommes incomparables.

**Invité** Invité

« Pour chaque bout d’espoir que tu souhaites, une quantité équivalente de désespoir se répand sur le monde. »

"Elle devrait le convaincre ici, et maintenant."

Jafar était pressé, Jafar était occupé, Jafar n'avait pas le temps... Tout le monde le sait, personne ne vous dira le contraire, alors pourquoi ? Pourquoi s'acharnaient t-ils tous a lui donné des tâches plus encombrante les unes que les autres ? Il était au-bord de la crise de nerf, ça se voyait pas ? Ah non c'est vrai.. Il devait afficher un sourire calme, parce qu'il était la raison de l'empire, la face posé et réfléchie. C'est Sin' qui avait le droit au crises de nerf, mais ça lui arrivait jamais, bah oui forcément quand on en glande pas une il y a pas de raison !
Il soupira très fort en passant dans le couloir désert qui menait a son bureau, sa cellule, les dossier qu'il avait dans les mains valait plus d'une vie et il se devait de les mettre rapidement en sécurité. Le jeune général avait la désagréable impression d'avoir oublier quelque chose, il lui semblait bien que son roi du je-m'en-foutisme l'avait prévenu de quelque chose... Oui encore un truc qu'il devait assuré a sa place... Mais qu'était-ce donc ?
Jafar poussa la porte en se creusant la tête lorsqu'une voix le fit sursauter.
- Ne t’approche pas de moi de plus de quinze mètres, tu m’entends ? Quinze misérables mètres. Nom d’un cul.
Il balayait la pièce du regard, sa main libre empoignait déjà un poignard dissimulé dans sa manche. Quelqu'un c'était introduit dans son bureau, drôle de façon de s'annoncer d'ailleurs. Un diversion ? Sin' était il en danger ?
Plop. Elle surgit de derrière le sofa soudainement déterminé.
-Souhaites-tu que je te racontes mon rapport en détails ? ah ! Ca ne conviendrait certainement pas à une personne aussi pure que toi. Ce serait bête que je te corrompe avec de telles paroles.
Jafar ouvrit grand les yeux, il en avait vu des choses mais là il doit avoué qu'il était un peu largué... Une espèce d'énergumène venait de s'introduire par la fenêtre dans son et lui hurlait dessus comme si elle était chez elle, qu'est ce qui l'empêchait de la tuer ? Soudain tout s'enchaîna dans sa tête, c'était elle le truc qu'il avait oublié !
-Ah, dit il enfin. Je vois, d'accord, vous êtes la nouvelle espionne de Sindbad. Excusez mon retard.
Il s'installa a son bureau en prenant soin de ne pas passer trop près d'elle, il ne voulait pas lui faire peur, et de qui plus est il n'avait pas confiance en elle.
Le général rangea ses documents dans son bureau, sortit un fin livre relié et une plume ainsi que de l'encre. Lorsqu'il fut fin prêt, il croisa ses doigts sur la table massif.
-Je vous écoute, dit il en essayant de ne pas avoir l'air trop agacé. Ne m'épargnez rien je vous prie, j'ai vu bien plus que vous ne le soupçonnez.
Il lui sourit gentiment mais rien en elle ne lui paraissait être "un bon partie", son roi lui avait tout juste dit qu'elle était "un peu sauvage". Ah oui c'était le cas de le dire ! Comment s'appelait elle déjà..Il fouilla sa mémoire comme ses dossiers, méthodiquement. Survival. Il ne lui prêtait aucun crédit, elle devrait le convaincre ici et maintenant.

**Invité** Invité

Tu étais formidable. J’étais fort minable.
Nous étions formidables.

Pourquoi paraissait-il si étonner de la voir, ne s’attendait-il pas à sa venue ? Les yeux écarlates de notre lapine se vidèrent rapidement de tout intéressement envers le jeune homme lorsqu’elle entendit ses propos décevants. Quoi ? Il l’avait ridiculement oublié ? Ca l’agaçait au plus haut point. Cet homme avait osé oublier leur plus grand espoir dans ce palais, cette espionne tant demandée et tant recherchée qui idéalise et restait fidèle au Roi. Elle ne l’excusera pas, elle n’avait aucune intention de le pardonner. Ne s’abstenant pas de contenir son sentiment de frustration, elle soupira lourdement en l’observant se diriger vers son bureau. Certes il avait fait l’effort de ne pas s’approcher d’elle. Seulement ça n’avait guère empêché Survival de s’éloigner de nouveau, reculant de quelques pas jusqu’au mur de la salle. Une pensée se répétait en boucle dans sa tête, tel un disque rayé : « Reste éloigné. Reste éloigné. Reste éloigné. ». C’était bien la première fois qu’elle évitait tout contact avec quelqu’un. Enfin, elle prêta attention à ses documents et à la place ou il les avait glissés. Une fois qu’il eut fini ses petites emplettes avec ses bouquins et son encre noire, il croisa simplement ses doigts. La demoiselle n’avait prêtée négligemment à aucuns détails concernant ses mouvements, le ton qu’il employait lorsqu’il parlait et chaque interjection qu’il utilisait. Le sourire qui régnait sur son visage la fit froncer les sourcils, montrant un visage dégouté de la personne qui se tenait derrière le bureau.

- « Le dossier que vous aviez dans les mains vous l’avez rangé dans le troisième tiroir près de votre tampon que vous utilisez pour les fiches importantes. D’après moi ce serais un revenu financier mais l’hypothèse que ces dossiers d’informations soient à propos de diverses personnes est tout aussi plausible. »

Survival avait fait preuve d’arrogance dans ses paroles pour que le jeune homme comprenne bien qu’il n’était pas le bienvenu dans ses relations avec un tel comportement, elle dessina également le même sourire dont il lui avait fait pars. Pourtant elle redoutait sa réaction, elle ne savait guère comment le jeune homme allait réagir et se contentait de brièvement se détourner de sa place d’origine. Longeant le mur jusqu’à la fenêtre, la demoiselle regarda discrètement le paysage extérieur pendant qu’elle commençait son récit d’information, d’une manière beaucoup plus sérieuse qu’auparavant. Elle était ici pour faire ses preuves, non pour jouer l’inspecteur concernant l’emplacement des dossiers de son supérieur.

- « Commençons par le commencement, je ne compte pas vous racontez toute une histoire non plus. Ce serait trop ennuyant pour votre petite personne. J’ai intégré le groupe des bandits que l'on m'avais demander, il est dirigé par un homme d’une vingtaine d’année ce nommant Ruis. Cet homme et son frère, aussi son bras-droit nommer Mehdi, ont été abandonnés dans leur enfance. Ruis a très vite compris qu’il fallait travailler pour réussir à vivre, il ne possédait pas énormément de choix question travail alors il a commencé à travailler dans le trafic. Concernant Mehdi, ce jeune homme n’a pas perdu de vue ses rêves d’enfants et souhaite toujours, en secret, vivre une vie normale. Malheureusement il n’ose rien faire à cause d’un petit brun très agressif. » Le visage de notre lapine vint se crisper de mécontentement, visiblement embêtée par le gamin dont elle parlait. « Ralf, ce gamin était très emmerdeur pour obtenir sa confiance. Il est celui qui le conseille et est aussi loyale que ma propre personne. Les personnes qui osent trahir le groupe, il les tues sans aucune pitié. Un peu comme vous, non ? » Son regard quitta le paysage préférant vous dévisager d’une manière embêtée, elle soupira avant de reprendre. « Enfin, Ralf a eu la merveilleuse idée d’ouvrir un marché noir dans Sindria. Demain, lorsque le soleil sera coucher, dans une des maisons de la ville. Vu à quel point ce personnage est discret, certainement une maison près du port pour récupérer facilement les marchandises. Je dirais la maison la plus à droite, celle qui est peu exposée à la luminosité. Non, je ne dis pas, j’en suis sûre. Le reste du groupe est caché dans une vallée rocheuse au nord. Ils viennent tout juste de s’installé et n’ont guère eu le temps de préparer un plan de secours en cas d’attaque. Ils se réunissent tous après demain pour les comptes de leurs business, là vous pourrez les attrapés. Mais c’est vrai, c’est vous qui décider de quoi faire. Je ne suis qu’une informatrice. »

L’expression si sérieuse qui régnait sur son visage retomba brusquement lorsqu’elle se dirigea vers le divan, s’allongeant une fois de plus. Son doigt fin redessinait les diverses formes du tapis et vagabondait sur la texture de ce dernier. Toujours occupée à se plaindre, certains mots s’échappèrent de sa bouche ordinairement : « Très vieille marque et manque de goût ». C’était son point de vue, elle ferma ses yeux avant de reprendre :

- « Rentrer dans leurs bandes n’était pas si compliquer, Mehdi était facilement manipulable comparé au casse-cocotier, Ralf. » Elle eut une pause de quelques secondes avant de se rendre compte du misérable surnom qu’elle lui avait trouvée. Elle déplaça rapidement son bras sur ses yeux pour cacher sa gêne. « S-Soit. De toute façon on obtient tout du moment qu’on offre son corps et qu’on parait digne de confiance pour "ses semblables" ! »

Cette phrase résumait parfaitement ces actes envers le groupe dont elle avait été chargée. En conclusion, elle se laissa glissée du divan pour finir tranquillement sur le sol, allongée négligemment sur le tapis émeraude. Survival dégagea son bras de son visage, dirigeant son regard rubis vers le conseiller, sensée prendre une décision la concernant.

- « Autre chose ? »

Tu es formidable. Je suis fort minable.
Nous sommes incomparables.

**Invité** Invité

« Pour chaque bout d’espoir que tu souhaites, une quantité équivalente de désespoir se répand sur le monde. »

"Elle devrait le convaincre ici, et maintenant."

La jeune femme soupira bruyamment, apparemment il l'embêtait beaucoup. Survival semblait agacer qu'il l'ait oublié, un égo bien puissant pour demoiselle si étrange, une princesse de l'empire Kou caché ? Elle resta au fond de la pièce et il se surprit a en être soulagé, elle dégageait quelque chose de mal sain, et sans qu'il ne sache pourquoi il ne voulait pas qu'elle l'approche. Comme pour confirmer ses pensées, elle devina ou le général avait entreposé ses papiers, il ne broncha pas préférant la laisser se vanter.
L'espionne entama son récit, elle lui parla des ces deux hommes Ruis et Medhi, du marché noir et de son emplacement cela suffisait. Dès ce soir il préviendrait la garde royal afin qu'elle intègre en civil les rue avoisinant le port. Bien qu'il notait au fur et a mesure ce n'était pas le récit en lui même qui l’intéressait mais bien la jeune femme qui le contait. Plusieurs fois il crut qu'elle savait, qu'elle savait à propos de lui, de Sin' et de leur passé mais c'était impossible d'autant plus qu'elle le prenait pour un bureaucrate coincés et passablement inutile. Jafar grimaça intérieurement était-ce réellement l'image qu'il souhaitait donné ? Oui, son égo prenait des baffes tout les jours mais maintenant c'était ce qu'il devait devenir aux yeux des gens. Gagner leur confiance pour que le roi dirige Sindria d'une main ferme.Il l'écoutait attentivement déchiffrant dans ses mots et ses mimiques toute la crainte et la méfiance qu'elle éprouvait pour lui.
-Autre chose ?
L'espionne se tortillait a terre comme un grand chat qui s'ennuie, Jafar rangea ses papiers et posa ses mains à plats sur son bureau.
-Si je peux vous retenir encore quelque minute, dit il toujours aussi impassible, la formulation était poli mais quelque chose dans le ton de sa voix signalait que ce n'était pas une demande, elle n'avait pas vraiment le choix.
-Comment êtes vous entrée dans mon bureau ? demande-t-il presque sur le ton de la plaisanterie.

**Invité** Invité

Tu étais formidable. J’étais fort minable.
Nous étions formidables.

Il semblerait que notre espionne serait contrainte de rester pendant encore quelques minutes dans la même pièce que cet homme aux cheveux blancs. Elle s’était d’ailleurs retenue de faire une mauvaise blague concernant ses derniers. Mais même s’ils ne pouvaient pas entretenir une bonne relation ils restaient collègues de travail. C’est sous cette pensée qu’elle entendit sa nouvelle question, qui parut l’étonnée. Il ne savait pas ? Vraiment ? A votre avis comment une espionne pouvait-elle rentrée dans une pièce fermer à clé aussi facilement ? Ça avait été la base de sa formation, depuis toute jeune elle connaissait la technique. Survival se releva en dessinant un sourire fort sympathique sur son petit visage pâle.

- « J’espérais que vous l’auriez deviné pardi ! N’est-ce pas évident ? Par la fenêtre évidemment, de cette manière tout le monde va savoir que je suis en compagnie de mon supérieur bien-aimé ! »

Et voilà qu’elle recommençait. Sa réponse avait été prononcée avec le même ton plaisantin que son interlocuteur, voire un peu plus prononcé. Il fallait croire qu’elle appréciait réellement ce moqué de son "supérieur bien-aimé", même si son cerveau essayer d’assimiler le fait qu’il se moquait d’elle également. Cette sensation horrible d’être prise pour une idiote lorsqu’elle se trouve en sa compagnie. Son sourire disparut rapidement et son expression devint subitement beaucoup plus sérieuse, ses sourcils froncés confirmaient le fait qu’il avait réussi à l’énerver.

- « Que cherchez-vous à savoir ? C’est étrange mais je ne me sens pas en sécurité en votre compagnie. Mais soit, je vais répondre sérieusement à votre question. »

Sa main droite plongea sous sa capuche, qui tomba à la renverse. Rare était les personnes qui la voyait ainsi, elle qui possédait toujours sa capuche sur la tête dans n’importe quelle situation et cela avait une bonne raison. Survival tentait de cacher les nombreuses cicatrices qu'elle pouvait disposer sur son dos ou sa nuque. Enfin, elle en avait sortit de ses cheveux un morceau de ferraille noir qu’elle mit en valeur pendant qu’elle s’approchait progressivement de la porte, s’accroupissant devant cette dernière.

- « Je ne le ferais qu’une seule fois. »

Elle vint enfouir le morceau de ferraille dans la serrure, le tournant plusieurs fois. L’oreille collée contre la porte, elle attendait le « clic » qui lui dirait que l’opération était réussie, ce qui ne tarda pas à son plus grand bonheur. Survival replaça la ferraille dans ses cheveux alors que de son autre main elle tentait d’ouvrir la porte, sans succès. Notre espionne venait de la fermer à clé et paraissait plutôt fière d’elle. Elle se redressa en souriant légèrement, tournant son visage et n’hésitant pas à avancer vers son "supérieur bien-aimé". Etrangement, elle avait placé sa peur au placard pendant les quelques minutes qui allaient se produire. Posant brusquement sa main sur son bureau, Survival se courba vers le jeune homme, les sourcils froncés et les yeux remplis de mépris :

- « Je ne vous comprends pas, votre caractère est incompréhensible et j’ai du mal à savoir quel est votre but. Mais si vous doutez de ma loyauté envers Sinbad, alors ne réapparaissez plus jamais devant moi. »

Ce fût sous ces dernières paroles qu’elle tourna les talons, se dirigeant une fois de plus vers la porte dans l’espoir de la déverrouillée. Mais n’avait-elle pas dit qu’elle ne le ferait qu’une seule fois ? Putain de fierté.

Tu es formidable. Je suis fort minable.
Nous sommes incomparables.

**Invité** Invité

« Pour chaque bout d’espoir que tu souhaites, une quantité équivalente de désespoir se répand sur le monde. »

"Elle devrait le convaincre ici, et maintenant."

Elle passait si soudainement du sérieux a l'ironie et inversement, sa première répliques fut inoffensive. Elle souhaitait se moquer de lui et affirmé sa supériorité ? Pour quelle raison ? Que souhaitait-elle caché ?
-Que cherchez-vous à savoir ? C’est étrange mais je ne me sens pas en sécurité en votre compagnie. Mais soit, je vais répondre sérieusement à votre question.
Ah Survival comprenait enfin, Jafar espérait qu'au moins elle entrevoyait tout ce qu'elle y gagnait a lui répondre honnêtement. Il n'était pas le grand méchant loup du palais, non ce rôle appartenait a Sindbad malgré les apparences. L'espionne retira sa capuche et dévoila d'affreuse cicatrice, elle n'imaginait sans doute pas combien cela le touchait. Le général savait ô combien ce geste n'était pas anodin, les assassins ne dévoilent jamais leurs cicatrices.
-Je ne le ferais qu’une seule fois.
La brun crocheta la porte a l'aide d'un étrange ustensile et se recula, satisfaite. L'orgueil. Voilà ce qui clochait chez Survival, trop sûre d'elle, l'espionne oubliait l'essentiel.
Sa peur envolée elle vint plaqué ses mains sur son bureau, la brune était tellement proche qu'il sentait son souffle sur ses joues.
-Je ne vous comprends pas, votre caractère est incompréhensible et j’ai du mal à savoir quel est votre but. Mais si vous doutez de ma loyauté envers Sinbad, alors ne réapparaissez plus jamais devant moi.
Sur cet avertissement elle s'en fut vers la porte lui tournant le dos. Un instant, un seul. Jafar pensa a la tuée. Ici, maintenant, pas par colère mais par anticipation. Mais on n'enlevait pas la vie par anticipation, plus maintenant.
- Calmez vous voyons, dit il, glaciale. Je voulais savoir, qui êtes vous réellement ?
Il insista sur le dernier mots, elle n'était pas mauvaise simplement imprudente. On ne menace pas ce que l'on ne connaît pas. Jafar réfléchis a lui avoué qu'elle occupait les poste que lui même avait occupé il y a bien longtemps.

**Invité** Invité

Tu étais formidable. J’étais fort minable.
Nous étions formidables.

La vie n’est qu’une succession de choix, comme dans un jeu. Vos choix sont automatiquement analysés et, en fonction des choix obtenus au cours de celle-ci, cela détermine le destin d’une personne. Le destin peut être bouleversé, d’un instant à l’autre il peut vous tourner le dos et vous faire sombrer dans un profond désespoir. Ou alors ça pourrait être le contraire. Mais comment Survival aurait-elle pu découvrir qu’elle sombrerait dans les profondeurs des ténèbres ? Que dans ce palais, elle faisait irrémédiablement confiance en la mauvaise personne ? Sinbad était cette mauvaise personne et elle l’ignorait, en tant qu’espionne elle ne devrait jamais connaître la véritable identité du roi de Sindria. Ou alors, elle ne serait plus capable d’espérée qu’une quelconque personne mérite encore de vivre dans ce monde misérable. Malheureusement, ce genre de décision ce n’était pas à elle de les prendre. Elle tourna les talons en direction de son supérieur, qu’elle dévisageait d’une manière mélancolique. Ce dernier avait demandé une information des plus personnelles pour la jeune femme, et cela semblait la perturbée considérablement à tel point que son cerveau commençait à riposter de manière étrange. « Qui êtes-vous réellement ? » Elle avait pris une décision et ignorait les conséquences que cela détiendrait sur son futur, mais elle comptait assumer jusqu’au bout le fait qu’elle allait faire confiance à son supérieur.

- « Je… Qui je suis réellement hein ? Je… »

Elle ferma douloureusement les yeux, posant maladroitement sa main sur son front qui commençait à devenir désagréable pour notre demoiselle. La douleur était survenue d’une manière totalement aléatoire, et elle savait la signification de cette douleur tout comme les murmures qu’elle entendait au creux de son oreille. Survival recula de plusieurs pas en arrière, son dos cognant brutalement contre la poignée de la porte. Le choc fût rude, si rude qu’il résonna dans le reste de son corps élancé. La douleur elle la sentit passée, mais elle ce contentait de rester de marbre, mordant l’intérieur de sa lèvre et arrachant les parcelles de peau qui recouvrait sa chaire. Elle ouvrit sa bouche, ses dents immaculées avaient mystérieusement changée de couleur, traquant le blanc pour une couleur de sang. Le regard plongée dans le vide, elle vint recouvrir son œil de sa main droite, ce dernier et seulement celui-ci était dilater. Alors qu’un triste sourire était présent sur son visage, elle articula difficilement :

- « Je suis Caragh Cinead, une… ancienne prostituée. Voilà, qui je suis. Et je… pourrais te poser la même question, Jafar. »

Survival, ou plutôt Caragh, s’approcha lentement du sofa dans l’espoir de s’allonger sur ce dernier, tout-en repositionnant son bras sur ses yeux. En l’espace de quelques minutes, elle avait changée de position une dizaine de fois.

- « Ah… S’ils pouvaient la fermer. »

Tu es formidable. Je suis fort minable.
Nous sommes incomparables.

**Invité** Invité

« Pour chaque bout d’espoir que tu souhaites, une quantité équivalente de désespoir se répand sur le monde. »

"Elle devrait le convaincre ici, et maintenant."

Jafar observa longuement la jeune femme qui venait de faire des aveux écrasant d'importance. Il savait, il savait tout. Ce que cela impliquait, ce que ça devait lui faire, tout. Sa réaction était pour le moins expressifs mais c'est différent lorsqu'on sait exactement e quoi il en tourne. Le conseiller ne savait pas encore si c'était néfaste ou non mais ... Il se sentait plus proche de la jeune femme, cela la rendait plus humaine, plus digne de confiance.
Survival, enfin Caragh Cinead, venait probablement de lui confier un secret qui serait facilement un mobile de meurtre mais pouvait il en faire autant ? Il n'était sûr de rien mais quelque chose le poussait a penser que cette relation ambigue était à construire, elle serait bénéfique.
-Tu as le droit Survival, dit calme. La jeune femme lui avait révéler son vrai nom mais ce n'est pour rien qu'elle en avait changé, si ça lui donnait l'impression de laisser son passé nébuleux derrière elle, soit.
Il baissa la tête un instant et serra les poing, méditant une dernière fois sa décision. Peut être devait il lui aussi paraître plus humain, plus digne de confiance. Jafar releva la tête et inspira, s'accoudant sur son bureau il posa sa tête contre sa paume, détendu, presque serein.
-Je suis Jafar un assassin de longue date. L'ancien occupant de ton poste actuel.
Dit-il avec un sourire complice. Le général était passé sur le tutoiement considérant que la politesse froide et fictive n'était plus de mise, il ne s'agissait plus de sauver les apparences.

HRP::

**Invité** Invité

Tu étais formidable. J’étais fort minable.
Nous étions formidables.

Ces yeux s’étaient élargi d’étonnement, et ce fût dans la même vivacité qu’elle se redressa dans l’espoir d’observer Jafar, celui qui se disait "ancien occupant de son poste actuel". Il pouvait la comprendre ? Comprendre ses sentiments de désespoir et tout ce qu’elle endurait à l’intérieur de sa misérable boîte crânienne ? Comprendre les inqualifiables paroles qu’ils murmuraient habituellement à son oreille ? Non, Jafar ne pouvait rien comprendre de tout ça. Lui, il n’était pas aussi fou qu’elle. Il n’était pas atteint de cette horrible maladie mentale appelée Schizophrénie, il ne sombrait guère dans ce désespoir constant et destructible. De plus, il croyait en l’espoir de posséder un avenir, de s’en sortir. Jafar était libre, il n’était plus enchaîner à son destin. Caragh ne devait pas nuire à cette personne, elle ne devait pas lui voler ce qu’il avait obtenu. Non, jamais. Elle devait se tenir éloignée, dans le pire des cas elle risquerait de s’attribuer tout son bonheur, tout ce qu’il avait construit grâce à ses efforts. Notre lapine se leva silencieusement, pendant que sa main droite approchait d’avantage sa capuche de son visage, dévoré par la tristesse d’une vie insignifiante. Elle dessina un triste sourire, mais pas moins chaleureux, destiné à son supérieur avant de tourner les talons pour ne guère montrée l’expression suivante. Elle était heureuse pour lui, après tout il n’était guère devenu comme elle.

- « Tu es formidable. Je suis fort minable. Nous sommes incomparables. »

Avait-elle prononcée alors qu’elle s’abandonnait, une nouvelle fois, à son triste sort. Elle avait touché le fond, croulait dans les abysses du désespoir. Mais elle était, malgré cette douleur constante dans son cœur, heureuse que ce soit elle à la place d’une quelconque personne. C’était un sentiment ambigu, bien plus ambigu que son existence elle-même. Jafar avait réussi, avec de simple parole, à faire tomber son masque de gamine confiante. Devant les yeux de son supérieur apparaissait Caragh, la vraie, l’unique. Celle qui se cachait derrière le personnage de Survival, celle qui dissimulait un fardeau bien trop lourd pour son dos élancé. Caragh entendait et ne cessait d’entendre ses voix répétitives qui ne s’abstenait de la persécuter, de détruire sa santé mentale. Un peu plus, chaque jour. Elle se demandait ce qu’adviendrait tout le désespoir qu’elle a accumulée lorsqu’elle disparaîtra. Et ils lui répondaient ce qu’elle désirait ignorée, ses craintes les plus probables. Ils lui disaient que personne ne devrait toucher son corps meurtri par l’obscénité ou elle violerait leur sainteté. Ils l’emmenaient dans les flammes de l’enfer, à petit feu son esprit se brisait sous leurs paroles constantes.

Un peu plus et elle aurait pu oublier Jafar, que penserait-il de sa véritable paranoïa ? De sa maladie mentale ? Et Sinbad ? Et… Aladdin ? Cette pensée la fit tressaillir. Non, Aladdin ne devrait jamais être au courant d’une telle chose. Elle devait protéger les personnes qui l’entouraient, jamais ces personnes ne devaient la toucher. Ils devaient la détestée au point de la faire tuer, détestez-la ! Elle est jalouse de vous ! C’est une personne détestable ! Vous devez rester loin d’elle ou alors elle ne pourrait pas vous protégez.

- « Pour chaque bout d’espoir que tu souhaites, une quantité équivalente de désespoir se répand sur le monde. » Elle se tourna vers Jafar, le visage pauvre en expression. « Tu crois me comprendre ? Je suis bien trop ambigu pour ça. Tu te crois être mon complice ? Mais tu n’es simplement que mon rival ! Que crois-tu comprendre sur moi ?! Que je donnais mon corps, dévorais la seule nourriture que je trouvais pour le plaisir ?! Je suis souillée ! Souillée jusqu’à la moelle ! Je ne suis même plus moi-même, j’entends des choses que je ne devrais pas entendre. Et tu crois me comprendre ? Non, tu ne pourras jamais comprendre. Ces hallucinations, ces voix, le goût de la chair et du sang… Tu ne connais pas. Pourquoi toi ? Et pourquoi pas moi. Suis-je condamnée à pourrir dans l’antre de l’enfer alors que toi tu retrouves le goût de la vie ? » Alors qu’intérieurement, son cerveau et les voix qui murmuraient répétaient sourdement : « Déteste-la. »

Après avoir détournée son regard indifférent de son supérieur, Survival s’approcha de la porte d’entrée du bureau, et ce fût lorsqu’elle déposa son pied sur le sol qu’elle regretta avoir osée faire un quelconque déplacement dans cet état. Après tout, elle devait avoir l’habitude maintenant ; les hallucinations auditives sont toujours suivies d’hallucinations visuelles. Pauvre sotte que tu es, comment vas-tu faire maintenant que l’environnement épanoui autour de toi est devenu noir ? Regarde-toi, tu disparais dans le néant d’une vie défectueuse. Pourtant, pourquoi gardes-tu cette expression imperturbable ?

- « J’aimerai sortir… peux-tu ouvrir la porte, s’il te plait ? » Elle perdait ses mots, les paroles insoutenables et l’obscurité qui l’engloutissait semblait la préoccupée plus-que prévue.

Le teint pâle, Survival regardait devant elle silencieusement pendant que son regard se berçait d’une terreur authentique. Les jambes sur le point de flancher, elles tremblaient telles des feuilles de papier. Mais pourtant, malgré ce visage terrifié, elle tenait bon de ne pas se tourner vers Jafar – même si elle ignorait sa position, maintenant. La seule chose qui l’intéressait était de sortir, loin. Très loin d’ici. Loin de lui, le plus loin possible. Son cœur se resserrait, elle avait cette impression d’étouffer dans le bureau de son supérieur. Les idées qu’elle possédait dans sa boîte crânienne devinrent flou, ils se mélangeaient pour créées des mots encore inconnu. Les larmes lui montèrent aux yeux pendant qu’elle ressentait cette étrange sentiment ; la peur de sombrer dans la démence encore plus profondément.

« Pour chaque bout d’espoir que tu souhaites, une quantité équivalente de désespoir se répand sur le monde. » PV • Survival & Jafar. 482113anigif2

« Pour chaque bout d’espoir que tu souhaites, une quantité équivalente de désespoir se répand sur le monde. » PV • Survival & Jafar. 482113anigif2

Tu es formidable. Je suis fort minable.
Nous sommes incomparables.

HRP:

**Invité** Invité

« Pour chaque bout d’espoir que tu souhaites, une quantité équivalente de désespoir se répand sur le monde. »

"Elle devrait le convaincre ici, et maintenant."

Un instant, une très courte seconde, il avait cru qu'elle cesserait ce petit jeu de désespoir mais aussi vite qu'elle avait disparue, Survival refit surface. Tout la confiance qu'il avait durement amassée auprès d'elle venait de s’effondrer comme un château de cartes. La jeune femme se lança dans une sombre litanie, Jafar n'était pas sûr de comprendre tout ce qu'elle disait. Il la regardait dans les yeux mais tout ce qu'il y vit n'était que vide et tourmente, elle semblait absente de son propre corp, l'adviseur espérait sincèrement que les mots dure qu'elle prononçait ne lui appartenait pas non plus.
La jeune femme le pria d'ouvrir la porte, sa folie n'entrainait pas seulement sa santé mentale mais aussi son corps. Jafar eu une pensée peu humaine, leurs était elle réellement utile dans cet état là ? Mais il ne dit rien, serra les dents et chassa cette réflexion de son esprit.
Il se leva et ouvrit la porte, docile. Il aurait pu la retenir mais à quoi bon ? Il ne voulait pas la tourmenter plus qu'elle ne le faisait déjà elle même. Survival ne semblait pas bien sûr de ces mouvements, elle paraissait même prête à tombée.
- Prend simplement la main qui t'es tendu, souffla. Comme moi des années auparavant j'ai saisi celle de Sindbad, il n'est pas trop tard.
Il tendit la main vers elle, près à la rattraper si elle tombait. Il y a de cela bien des années mais il s'en souvenait comme si c'était hier. Le jour ou Sindbad lui avait proposé de partir avec lui, laisser tout ce cauchemar derrière et lui faire confiance. Jafar avait refusé, préférant nettement lui tranché la gorge et récupérer les vêtements plutôt sympathiques de cet espèce d'abruti illuminé. Le futur roi ne c'était pas défendu, il n'avait même pas daigné exprimé la peur lorsque le poignard de Jafar c'était posé sur son cou. Sindbad avait ri et l'avait convaincu avec des mots qu'il ne serait sans doute pas capable de prononcer. L'adviseur voulait faire que chose pour Survival qui lui rappelait cruellement ses erreurs passés mais il avait l'impression qu'elle lui avait déjà échappée.

Music ♥:

**Invité** Invité

Tu es formidable. Je suis fort minable.
Nous sommes incomparables.

- « Mais qu’est-ce que tu racontes ? » Fût la réponse de notre espionne face à son supérieur.

Alors que l’environnement qui l’entourait engouffrait son corps dans son obscurité la plus totale, Survival afficha un dernier masque pour masquer son expression la plus désespérante. Ses jambes tremblaient tels des vulgaires feuilles de papier, son âme était plongée dans le compartiment le plus obscur de la vie elle-même… Et pourtant elle affichait ce sourire chaleureux sur son visage. Cette expression qui réchauffait le cœur de nombreuses personnes, mais qui cachait bien des choses. Ô les sacrifices qu’elle pourrait faire pour la bienfaisance de ce monde. Même si tout le malheur devait s’affaler sur ses épaules ; jamais, au plus grand jamais elle n’abandonnera Sindria et ses habitants. Elle portera leurs fardeaux sur ses épaules et leurs assurera bonheur. Mais, ce bonheur possède bien un prix, regardez là. La pauvre enfant qu’elle est devenue et continuera de devenir. Pour eux, elle allait sombrée plus profondément encore.

La main que Jafar lui tendait, elle souhaitait la prendre. Elle avait même tendu sa main dans l’espoir de l’attraper, mais qui prendra la relève si elle abandonnait maintenant ? Elle était la seule à pouvoir faire ce travail et possédait une telle bonté dans ce petit corps. C’est pourquoi elle ne l’avait guère prise et s’était abstenue de tout contact physique avec ce dernier.

- « Écoute-moi, Jafar. Tu dois continuer à sourire, à espérer. Je n’ai pas le droit de te toucher, ni de te voler le bonheur que tu as si durement gagné… Comprend moi, tu es bien trop lumineux. J’aurais trop peur que si je te touchais ton sourire disparaîtrait. Ce n’est pas ce que je veux, je ne dois pas flancher. »

Toujours avec ce même sourire, elle avait prononcé ces paroles en faisant attention à l’articulation de chaque mot. Elle ne souhaitait guère être sauvée à la place de millions de personnes, elle souhaitait simplement posséder une seule personne qui la soutiendrait dans sa démarche. En sentant que son masque allait se briser, elle avança prudemment vers la porte en portant beaucoup d’importance à la position de Jafar sur son chemin. Elle ne devait pas le toucher, certainement pas. Survival s’arrêta après l’avoir dépassé, son visage se crispant et ses yeux ne pouvant contenir d’avantage ses larmes. Ce fût d’un murmure à la voix détruite qu’elle prononça ses derniers mots avant de partir, laissant d’innombrables rukhs noirs derrière elle :

- « Pardonne-moi. »

✖ Sortie du personnage.

**Contenu sponsorisé**

» Journal Intime de Jafar ~>
» « On dirais que cette partie du monde pleure pour moi. » PV • Survival & Aladdin.
» A la recherche d'RP pour Survival-chan ~.
» espionnage, qui voilà ? {Kiyo/Jafar/Sinbad} - event
» Qu'ai-je fait encore? [PV : Jafar]