Arslân possède un grand potentiel. Ayant grandi noble, il fût donc entraîné tous les jours au combat durant son enfance, en plus d'avoir accès à une instruction de qualité. Il avait choisi de maîtriser l'épée à une main. À force de s'entraîner, il est devenu un spécialiste de l'épée. Son Djinn, Andras, est un djinn de Feu aux capacités offensives et stratégiques surprenantes et loge dans son épée, dont le tranchant et la beauté son dignes des lames royales. Grâce à son Djinn, il peut manipuler le feu à sa guise. Il peut aussi enflammer son épée pour faire des dégâts de feu. En terme de "statistiques", Arslân est meilleur sur le plan offensivement physique, puis vient l'agilité. Son point faible est sa défense (et sa maladresse, sauf pour les épées, du moins, celles qu'il a déjà eu a porter). Il ne maîtrise pas encore son Revêtement de Djinn, qui n'est que partiel.

Sa mentalité est son plus grand atout. Il est très intelligent et a une excellente mémoire principalement auditive, en plus d'être très gentil. Mais il manque vraiment de répartie et est assez possessif. Il était autrefois ouvert avant de se renfermer pour devenir réservé. Étant trop habitué au sarcasmes et autres moqueries, il ne sait pas vraiment toujours comment prendre les paroles des gens et est devenu malgré tout très méfiant. Mais il est très honnête et loyal envers ceux qu'il apprécie.

En revanche, le plus gros problème d'Arslân est le social. Il est très têtu, voire parfois entêté (un reflet de son côté naturel un peu hautain dont je parlerai plus bas), et défend donc toujours ardemment ses idées et causes. Il manque de confiance en lui et n'ose que rarement aller vers les gens qui sortent de son cercle d'amis. Il a aussi du mal à parler aux filles. Plus simplement, il a de vraies difficultés sociales.

Arslân n'est pas spécialement courageux ni peureux, mais possède une réelle phobie des insectes, ce qui peut vite devenir très dérangeant. Côté défauts, il n'est pas très sérieux et la concentration n'est pas son fort, donc son irrégularité dans ses actions est assez handicapante; sans oublier qu'il est d'un naturel un peu hautain mais que ses parents ont remballé le plus possible. Ceci dit, il reste cependant un fond de ce caractère malgré sa bonne éducation : on ne peut pas changer entièrement la nature des gens. Il se pose aussi trop de questions existentielles et n'hésitera pas à exposer son point de vue (généralement très subjectif) sur une situation. Il trouve assez souvent des arguments solides mais pas toujours véridiques. Il un peu persuasif malgré lui : il n'aime pas obliger les gens à faire quelque chose. Il n'est donc que rarement écouté des autres. Arslân arrive souvent à se motiver, mais sa détermination part souvent en fumée quand on lui "aboie" dessus parce qu'il fait une erreur.

Effectivement, n'ayant pas de répartie, il se sent obligé de laisser tomber et se démoralise pour la journée. Il est donc d'un naturel pessimiste et défaitiste. Si il y a bien une chose qu'il souhaiterait changer chez lui, c'est bien cela.

Arslân a les cheveux et la peau blanche, et les yeux bleus. Niveau coiffure, il a une raie au milieu du crâne, une frange de chaque côté, et enfin une sorte de queue de cheval, ce qui fait qu'on peut parfois le confondre avec une fille. Il porte une armure d'or, recouverte d'une espèce de "jupe" de tissu blanc, et d'un tissu noir au niveau des épaules; ainsi qu'une cape blanche, sans oublier des bottes marrons. Arslân n'est pas très discret, en plus d'être maladroit. Il n'est pas spécialement très musclé, ne porte pas de bijou, mais il est bien proportionné. Ses jambes sont plus agiles que puissantes, même si sa force n'est pas à sous-estimer. De plus, il est très fort au niveau des bras grâce à son entraînement ardu à l'épée qui lui les a musclés. Son visage, qui fait beaucoup plus jeune qu'il n'en a l'air, le fait souvent passer pour un adolescent en début de puberté, ce qui le gêne considérablement. On lui donnerait 3 ans de moins !

Il aime beaucoup son épée, qui est digne des célèbres épées royales. Dans celle-ci est scellé Andras, Djinn de l'honnêteté et de la loyauté. Son manche est en or et il y a une lame de chaque côté, donc ce n'est pas un katana. En "haut" du manche se trouve un rubis, et c'est là qu'est enfermé Andras. Sa lame est très tranchante, brillante, bref, elle fut extrêmement bien entretenue lors de sa forge.

Né le 13 Mouharram 985 et fils unique de très bonne famille, Arslân a grandi noble. Son père était un puissant guerrier. Sa famille l'appréciait pleinement, sauf sur un point : il était contre l'esclavage et rêvait qu'il soit aboli un jour. Quant à ses amis, ils étaient plus d'accord avec lui. Arslân a eu la chance d'accéder à une excellente éducation, ainsi qu'à des cours d'escrime de qualité, organisés par un ami de son père qui était même meilleur que ce dernier à l'épée ! Il adorait ça et s'entraînait chaque jour afin de devenir un épéiste hors-pair. À force, il maîtrisait donc l'escrime noble, "classique" (d'armée) et connaissait même un ou deux mouvements d'escrime royale grâce à son maître. Mais il était mal vu aux yeux des autres nobles de son âge (mis à part ses amis bien évidemment), qui le trouvaient laid, complètement stupide (à cause de son soutien de l'abolition de l'esclavage) et méchant. En effet, Arslân se faisait frapper tous les jours par les autres jeunes nobles quand il était petit, et ne pouvait rien faire car il ne savait pas se battre. Ses parents ne savaient que faire, ils étaient mal-aimés aussi des autres nobles. À cause de ça, il s'est toujours trouvé faible, et s'est auto-exclu, se renfermant donc sur lui même. C'est d'ailleurs une des raisons pour lesquelles il a un sérieux problème social (énoncé au-dessus) et accorde malgré lui une grande importance au regard des autres. Ses amis, en revanche, étaient formidables et avaient de vraies valeurs. Arslân les a rencontré "grâce" aux moqueries des autres, car ses amis étaient aussi très impopulaires. Il se console d'ailleurs en se disant que derrière tout mal se cache un bien. Telle était son enfance, des conditions heureuses, mais un environnement verbalement et socialement hostile (il a arrêté de se faire frapper vers 7 ans).

Néanmoins, il aimait beaucoup Balbadd, et, quand il entendit parler d'Alibaba, il en devint vite un grand admirateur. Par la suite, il fut présent au grand discours d'Alibaba quant à l'avenir de Balbadd. Il fut alors un peu déçu de perdre le titre de Noble, car il aimait bien ce nom, mais était content qu'il n'y ait plus d'inégalité et que l'esclavage soit aboli. Or, quand la Fog Troupe arriva et déclencha une guerre civile, le pays entier s'ébranla. Ce qu'on pourrait appeler le "tiers-état" était sans pitié avec les nobles et inversement. Des deux côtés, il n'y avait pas de distinction : TOUS les nobles étaient des "connards de riches" aux yeux des gens défavorisés, et TOUS les défavorisés étaient des "jaloux enragés" aux yeux des nobles. Arslân ne voulaient pas participer, car il ne voulait pas blesser les gens qu'il a toujours voulu soutenir, mais n'avait pas envie non plus de combattre la noblesse. De nombreuses habitations furent brûlées, dévastées, et celle d'Arslân n'échappa pas à ce sort. Ses parents avaient fuit ailleurs, mais retrouvèrent leur fils par hasard au même point : Devant les vestiges de leur maison. Seuls quelques souvenirs chers avaient été épargnés, ce qui les consola un peu. Cependant, des paysans et esclaves auto-affranchis arrivèrent avec une soif de sang sans limite. Lui et ses parents ne pouvaient plus fuir : ces derniers furent gravement blessés, n'ayant pas d'armes sur eux. Comment un guerrier comme son père pouvait-il être dans cet état ? Il avait en fait une blessure qui le gênait sans pour autant l'empêcher de combattre, sauf qu'à cause d'un faux mouvement qui lui fit atrocement mal à l'endroit de la cicatrice, il s'était retrouvé incapable de se battre et c'est pourquoi il avait été fauché de plus belle. Arslân n'eut donc plus le choix : il devait les battre. Il n'y eut aucun mal, grâce à son entraînement quotidien. Mais il avait honte d'avoir sali ses mains sur des compatriotes. Il le regrette encore aujourd'hui. Ses parents survécurent, mais son père ne fut plus jamais en état de se battre.

Mais par la suite, Balbadd fut annexée par l'empire Kou, une nation puissante de l'est, militarisée. L'empire Kou fut impitoyable : Il rebâtirent Balbadd selon le style de leur empire (qui n'était pas du tout du goût d'Arslân), et remirent un système de classes sociales. Les gens en vert étaient les citoyens de Balbadd, qui furent bien nourris certes, mais semi-exclus, le marron pour les esclaves et les citoyens venant de Kou étaient eux très favorisés. Arslân connut donc temporairement ce que ressentait un homme défavorisé dans la société. Puis un jour, un groupe de mercenaires passant dans la ville forçait grâce au chantage des gens à venir les aiderpour la conquête du 63e donjon. Ils mobilisèrent donc plus ou moins légalement une trentaine d'hommes, en particulier des gens de Balbadd (pour ne pas avoir le gouvernement local à dos), afin de conquérir des donjons. Arslân ne put y échapper, étant donné qu'il était le seul valide de sa famille proche. Le groupe se dirigeait vers le 63e donjon de ce monde : celui d'Andras. Il se trouvait non loin de Balbadd. De nombreux aventuriers avaient tenté leurs chances en vain. y avaient été envoyées, sans succès. Arslân avait eu droit à une assez haute position par rapport à son nouveau rang social. Et puis, il se disait qu'avec de la chance, il pourrait peut-être s'y lier pour regagner son indépendance.

Il entra donc avec le groupe dans le donjon. Soudain, il se retrouva comme au-dessus de la terre, avec au moins six dizaines de colonnes de lumière. Il se retrouva ensuite "aspiré" dans l'une d'elles, s'évanouissant.

Arslân se réveilla en même temps que tout le monde, ayant l'impression d'avoir dormi un jour entier (ce qui était le cas). Le groupe fit un chahut pas possible. Arslân remarqua enfin qu'ils étaient une quarantaine d'hommes dans le donjon : il n'y avait pas fait attention. Mieux vaut tard que jamais. Soudain, deux grosses salamandres (de la hauteur d'une charrette) apparurent de nulle part. Le leader ordonna d'attaquer, sans même fondamentalement y réfléchir. C'est alors que tout le groupe fonçait sans hésiter sur les deux monstres. Plantant leurs épées et lances tous en même temps dans les corps des monstres, ils réussirent à les blesser mortellement, mais ce ne fut pas sans conséquence : les salamandres s'étaient évidemment défendues et avaient, en agonisant, abattus 10 soldats d'un coup. Il n'en restait plus que 30. La suite du donjon était surtout composée de nombreux pièges disposés un peu partout dans les différents couloirs et salles. Arslân put néanmoins sauver de nombreux camarades en repérant bon nombre de pièges. Un exemple ? Il y avait à un moment donné un couloir de pavés en pierres. Il était gravé sur les murs que certaines seraient mortelles. Cet abruti de leader ordonna à un 5 personnes de foncer sans réfléchir pour tout activer et passer tranquillement après. Mais il y avait quelque chose de plus simple pour repérer les pièges : certaines dalles paraissaient plus basses, comme "creusées" dans le sol. La question était de savoir lesquelles étaient létales. Les gens qui avaient été forcés de se sacrifier se défilaient l'un après l'autre sous les cris enragés du leader menaçant. L'un deux, probablement aussi stupide que le général, fonça en hurlant à travers le couloir mais fut vite stoppé par 4 flèches qui se plantèrent de différents côtés dans son corps. Il avait marché sur une dalle "haute". Lorsque les quatre autres voulurent le suivre, Arslân cria :

"STOOOOOOOP ! J'ai compris ! Les pavés paraissant "enfoncés" dans le sol sont les sécurisés ! Regardez bien !"

Pourtant, Arslân n'avait fait qu'observer rapidement le terrain. L'annexion de Balbadd par Kou leur avait sûrement fait perdre la raison. Le leader le prit donc à ses côtés, soulignant avec satisfaction son "intelligence rare". Ce n'était pourtant pas bien compliqué. Il suffisait d'observer, de percevoir. De plus, le donjon était truffé de pièges plus fourbes les uns que les autres. Ce djinn était un sacré farceur : Entre les portes piégées, un labyrinthe où la moindre erreur était fatale, des rafales de feu surprises, etc., il y avait de quoi se dire que c'était sûrement le donjon le plus fourbe existant ! De plus, il y avait deux ou trois énigmes stupides et toutes bêtes. Par exemple, la première d'entre elles était "Dès qu'on me nomme, je disparais. Appelle-moi devant cette porte mon identité et tu pourras passer.". Le leader, avec sa stupidité habituelle, avait crié une absurdité sans nom, et avait reçu une flèche dans la tête sous les regards ébahis mais soulagés de toute la troupe.

*Ça t'apprendra, sombre idiot.*
Devant la porte.
"SILENCE !"

La porte s'ouvrit. Cet Andras prenait vraiment les humains (pas totalement à tort) pour des êtres complètement stupides. Comme dit plus tôt, il y eut encore deux énigmes du même niveau intellectuel avant la salle finale. Quand ils y entrèrent, il ne restait que 15 hommes. On rappelle qu'ils étaient 40 et que le dirigeant y était passé aussi. Soudainement, un très grand lion rouge à la crinière de feu fit son apparition. On entendit alors une voix prononcer les mots suivants :

"Bien. Je vois que vous n'êtes pas TOTALEMENT stupides. Je me présente, Andras, un Djinn de feu. Maintenant, vous allez répondre HONNÊTEMENT à mes questions, sans quoi ce lion vous attaquera. Pour commencer, parlez-moi un peu de vous, de ce que vous venez faire."

Beaucoup parlèrent d'eux comme de légendes, d'autres flattaient le Djinn. Mais Arslân, lui, fit part de ses défauts puis de ses qualités, passant par ses talents et faiblesses au combat. L'ancien noble se disait qu'il n'aurait aucune chance de se lier au Djinn à son si jeune âge et avec un caractère aussi compliqué et difficile à vivre. Il n'oubli pas de mentionner son objectif de rendre son indépendance à Balbadd. Beaucoup ne manquèrent pas de le rayer. Puis deux soldats se disputaient pour avoir qui avait le plus de valeurs. D'autres rejoignirent alors la dispute générale, et ainsi de suite. Le stress et l'envie de s'emparer du Djinn les avait envahi. Arslân savait qu'essayer de les arrêter serait vain.

"Rahlala, les humains... presque tous des lâches. Je peux voir à votre attitude que vous mentez, hein. J'en ai vu passer tout au long de ma vie, des menteurs, et je sais donc comment ça se passe là-dedans -sans oublier l'attitude- quand presque n'importe quel type d'être humain ment. Il en aurait fallu plus pour me bluffer.Tant pis pour vous."

Le lion fut soudain pris d'un accès de colère et se jeta sur les soldats. Tuant sans peine, il fut néanmoins lui aussi blessé. Plus que 5 survivants. Arslân, voulant aider ces citoyens de Balbadd, dégaina son épée mais dut emprisonné dans une cage de feu.

"Pourquoi ? Tu as été franc, ça s'est vu, tu as donc passé le "défi"."
"Comment puis-je me qualifier de révolutionnaire si je ne peux même pas protéger mes compatriotes !?"
"Compatriotes qui ne te respectent aucunement et te traitent de "sale noble déchu". Tu auras le pouvoir de changer ça ne fois sorti. Mais ils ont scellé leur avenir de manière consciente. Ou plutôt, confiante. Ils prenaient ça comme des paroles en l'air, rira bien qui rira le dernier."

Arslân s'énerva.

"ÇA SUFFIT !!!"

Il tenta de "couper" les flammes de la cage avec son épée, en vain.

"Du calme, je te comprends. Mais mes pouvoirs ne sont pas infinis, je ne peux pas arrêter le lion. À toi de voir si tu auras le courage d'abréger leurs souffrances."

Arslân vit soudain une sorte de levier, sorti de nulle part, au sol. Il comprit que cela pourrait très bien empirer la situation mais, ce rappelant la guerre civile, sa lâcheté de n'avoir rien fait, il voulut agir, pour une fois. Tant pis. Il actionna le levier. Soudain, le sol s'écroula, sauf à l'endroit où se trouvait l'espèce de cage, et les 4 autres survivants qui avaient réussi à repousser le lion tombèrent avec ce dernier dans un gouffre sans fin. Comme Andras le disait, ce n'était qu'une abréviation de leurs souffrances. C'est alors qu'Andras apparut devant lui : il était bleu (vu que c'était un djinn), assez musclé avec un corps en V, aux cheveux mi-longs et ébouriffés. Il portait des lunettes et ses yeux étaient en amende.

"Écoute-moi bien, Arslân. Tu n'es PAS un lâche. Tu as toujours eu de vraies valeurs, tu as eu le courage d'abréger les souffrances de tes camarades qui ne le méritaient pas de ta part, tu as su être honnête même malgré le regard des autres et tu as toujours été loyal à ta patrie, à tes amis et à tes concitoyens. Tu es juste naïf, mais c'est pas grave, t'inquiètes. De plus, tu sais ce que cela fait de souffrir mentalement, car tu as connu la guerre civile et tu as vu bon nombre de camarades mourir sous tes yeux. Je vais te donner la force nécessaire pour avancer. Retiens seulement que tu as fait un grand pas dans ta vie, avec ce dernier acte."

Puis le Djinn se dématérialisa vers le rubis incrusté dans l'épée d'Arslân, qui fut tout à coup marqué d'une étrange étoile. Cette surcharge d'émotion fit s'évanouir notre ancien noble.

C'est ainsi qu'Arslân se réveilla le lendemain matin, seul dehors, derrière le cratère laissé par la disparition du donjon. Voulant rentrer chez lui, il se mit en chemin vers Balbadd. Mais un petit corps d'armée de Kou qui avait été alerté par l'évènement et était parti cherché le survivant lui ordonna d'aller voir le gouverneur local afin d'intégrer l'armée de Kou, sans quoi il serait exécuté. Arslân se rendit donc à Balbadd, surveillé deplus ou moins loin par la patrouille, avant de prendre soudainement la fuite vers la sortie de Balbadd, esquivant et semant n'importe quel soldat qui se lançait à sa poursuite.

C'est ainsi qu'il devint un fugitif (je sais pas si on peut parler d'hors-la-loi) et mena une vie de vagabond. Il continua de s'entraîner seul au combat chaque jour durant son voyage, testant les capacités de son Djinn. Il en vint à force à maîtriser le revêtement de Djinn partiel, à savoir au niveau de son arme. Il vit comme ça depuis un peu plus d'un an (12 Awal 1001).

Voilà comment et pourquoi Arslân erre désormais dans ce monde, avec culpabilité à cause de la conquête du donjon, dans le but de devenir plus fort pour restaurer Balbadd.

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