ÂGE : 42 ans
ORIENTATION SEXUELLE : Ce sujet est une véritable affaire d'état
CAMP : le Kansai
GROUPE : Empire Kou
STATUT : Reine-Prêtresse
CAPACITÉ(S) : Diplomatie, politique etc. Elle est aussi une excellente praticienne de la magie, maîtrisant un très large éventail de sorts, et autres techniques et arts magiques. Pour se maintenir physiquement en forme, Himiko est passée maître dans le kaiken-jutsu, l'art martial consistant à manier les couteaux, et le kakushi désigne l'art de manier les armes cachées, comme les kaiken et les shuriken, ainsi que du tire à l'arc.

Caractère (cinq lignes minimum) :

  Himiko est une monarque lucide et éclairée, qui a pleinement à cœur le bien être des siens et de son pays, et cela à n'import quel prix. De plus, c'est une personne en général joviale et aimable, qui place son honneur et celui du Kansai au dessus de bien des choses.
  D'un naturel calme et posé, son parfait contrôle des émotion lui permet une flexibilité mentale en toute forme de situation, ses colère les moins contrôlés, étant plus froides qu’explosives, donnant l'impression à ceux qui les subissent, qu'ils marchent sur un immense lac, séparés d'une masse d'eau infinie se pressant sur une couche de glace proche de son point de rupture, mais qui pourtant de semble pas décidée à céder.
  D'un caractère de base bienveillant, aimable et joviale, ses multiples séjours à la Cour Impériale ont profondément changés sa nature, sans pour autant porter atteinte à ses valeurs. Ainsi, avec le temps, Himiko est devenue de plus en plus retorse, et vicieuse, devenant un véritable cobra parmi les vipères. Ajoutant à cela, un côté subtile, et calculateur, usant de sa patience infinie, pour réfléchir mûrement avant de produire le moindre jugement, faisant toujours en sorte d'avoir un avis nuancé sur le monde qui l'entoure.
  Ainsi, elle manie la flagornerie comme une parfaite courtisane, et la médisance à l'instar des plus odieuses vipères. Réservant ces attitudes hautement hypocrites à ceux qu'elle considère comme inférieurs, ou alors les personnes qu'elle n'aime pas, ou dont elle veut tirer quelque chose. Car en général, Himiko parle en toute franchise, et n’hésite pas à proférer des paroles dures, sans pour autant manquer de tact et de diplomatie, sauf si la situation l'exige.
  Himiko, ne fait rarement pas dans la demie mesure, étant très ambitieuse, elle aime voir les choses en grand, et concrétiser ses projets du mieux qu'elle peut. Cela l'amène à être relativement exigeante avec elle-même, et aussi les autres, ce qui lui donnes des réactions qui peuvent se rapprocher de l'autorité.

Physique (cinq lignes minimum) :

  Malgré son âge, Himiko est une femme parfaitement conservée, qui ne manque clairement pas de charme, à l’allure très digne, pouvant afficher un port des plus altier. Parfaitement au courant de l’étiquette, elle se tient toujours de manière extrêmement droite et rigide, sans pour autant se départir d'une élégante grâce naturelle.
  Ses long cheveux d'un noir profond, sont agencés en une coiffure stricte à la dernière mode, toujours agrémentés de parures précieuses.
  Son intérêt à suivre scrupuleusement chaque variation du style de la haute société, à fait d'elle une lanceuse de tendance, toujours habillée d'étoffes luxueuses, de vêtements aux coupes exquises, et autres toilettes raffinées, préférant de loin évoluer dans des apparences sophistiqués plutôt que confortables.
  Tout comme ses cheveux, ses yeux sont plus noirs qu'une nuit sans lune, arborant un regard vif, qu'elle peut rendre plus perçant et dur, lorsque l'occasion s'y prête.
  Elle ne manque pas de charme, malgré son visage aux traits rigides et sévères, adouci par son tient rose . Se tenant toujours de façon extrêmement droite, elle peut aisément se montrer imposante et impressionnante.

Une dizaine de lignes minimum.



  Fille aînée d'une cousine éloignée des deux fondateurs de l'Empire Kou, et du dernier Empereur-Dieu, et premier Roi-prêtre du Kansai, elle était de par sa naissance, destinée à prendre la tête de ce royaume anciennement neutre, au peuple doux et pacifique, composé d'une trentaine de principautés, et entouré par plus d'une centaines d'autres. Le Kansai fut le premier royaume à devenir une état satellite, vassale de l'Empire, et est l'origine du statu impériale de Kou. En effet, les liens du sang furent l'une des principale raison valable et officielle de l’annexion de cette région plus que prospère au patrimoine culturelle très avantageux, où magie, religion, et pouvoir s'entremêlent, uniquement séparés de fines nuances.
  Jouissant de très bonnes et vastes terres fertiles, parfaitement administrées par une population un minimum cultivée, qui bénéficiait du contrôle de puissantes voies commerciales pour communiquer avec le reste du monde. De plus, ce pays dispose d'un clergé lettré et savant, qui partage son savoir sans avarice, diffusant des connaissances des plus simples et pratique, aux plus occultes et mystiques, en passant par des compétences martiales et militaires, le tout aillant été élevé au rang d'art aux fil des siècles. Il est donc naturelle qu'un tel joyaux paradisiaque attire les convoitises, et nombreux furent ceux qui voulaient en sertir leurs couronnes, et échouèrent, jusqu'à aujourd’hui.



  Relevant une importance capitale pour les conquêtes à venir, Kou ne pouvait donc pas se permettre de subir la moindre forme de révolte de la part du Kansai. Il reçu d’office le privilège de rester en très grande partie inchangé, et put par exemple, conserver sa culture riche (relativement proche de celle de Kou (l'une influant sur l'autre, et inversement)), sa politique et ses administrations, et ne subir aucun redécoupage des frontières intérieurs et extérieures etc... Au prix d'une politique isolationniste imposée, et d'une totale dépendance et soumission à l'Empire, qui ne l'autoriser à échanger qu'avec lui-même, et le reste de Kou, ne conservant que le stricte minimum pour les deux pays en matière de relations avec le reste du monde. De plus, Kansai donna aux Rem une supériorité théorique sur les autres puissances, en leurs accordant par exemple le rang impériale, en échange du rang de royaume quasi autonome mais non souverain, reconnaissant l'Empereur comme le dirigeant de toute la nation. Ajouté à cela le puissant réseau d’espionnage du Kansai, qui est maintenant sous une double législation.



  Tout chez Himiko lui destinait à une vie de pouvoirs et de privilèges qu'elle à naturellement profité. En tant que première née, et héritière, et bénéficia d'une éducation plus qu'exemplaire, pour la préparer au mieux à tout les aspect de son futur rôle de Reine-Prêtresse, et de celui de Sainte Princesse Royale de Ryoshima. Bien que le Royaume n'était officiellement pas contre sa perte de souveraineté tant qu'il pouvait continuer à mener sa barque, la fierté, et le sentiment commun de liberté et d'indépendance qui caractérise son peuple en avaient décidé autrement. Ainsi, Himiko et son frère reçurent une formation secrète, dans le but de leurs donner à tout les deux la possibilité de redonner au Kansai le statu d'état libre, indépendant, et souverain, avec pour seul supérieur le ciel divin. Bien que cette ambition reste en perpétuelle révision, la noblesse et la royauté restant lucide sur les avantages et bien faits de l'Empire Kou.



  La princesse eu donc tout le loisir d'exercer  au mieux son esprit critique, et affûter  sans pareil ses sens aigus de la finance et de l'économie, du commerce et du négoce, ainsi que de la politique et de la diplomatie. Ces exercices théoriques et pratiques furent son quotidiens dès son plus jeune âge, principalement dans l'optique du bien et du profit familiale, puis dans un second lieu le sien, et pour finir celui de son royaume, les trois étant de son point de vue intimement liés.
  En parallèle de cela, Himiko avait développé un don inné envers la magie et son contrôle, et une certaine affinité naturelle envers la magie de la vie, perpétuant alors la tradition des Monarques Thaumaturges. Ainsi, depuis l'instant où elle a découvert ses pouvoir, elle si exerce de façon autodidacte, tout en aillant l'enseignement de divers maîtres en la matière engagés par ses parents en attendant l'âge requis pour son admission à L'Académie Magique de Musta'sim. Là-bas, elle fit preuve d'une prédisposition prépondérante pour la maîtrise du magoi, devenant une élève modèle, douée d'une quantité naturellement prodigieuse d'énergie magique.



  Après avoir complètement terminée ses études, elle revient au plus tôt chez elle pour se reconsacrer au Kansai et à ses gens. Quatre ans plus tard, quelques mois après ses vingt-quatre ans, ses deux parents s’éteignirent l'un après l'autre de vieillesse, lui transmettant le trône et la couronne, et toutes les responsabilités qui y sont liées.
  Loin de fuir ses engagements, Himiko décida sur le champ de déléguer une partie de ses devoirs au reste de la famille royale, soit son frère et sa belle-sœur, et leurs fille. Cette manœuvre avait pour but d'assurer une avenir sûr au pays, le peuple et la noblesse s’habituèrent donc assez tôt aux successeurs de leurs Reine, qui bénéficiaient par la sorte de véritables cours intensifs de règne et de gouvernance. Cela donnait aussi à Himiko plus de liberté, qui pouvait donc se permettre diverses allés-retours entre le Palais Royale, la Cours Impériale, et le reste des anciens trônes de l’Empire, où elle pouvait dors-et-déjà commencer ses intrigues, et autres manigances, pour le bien de son peuple, tout en continuant d'apprendre et de se perfectionner dans ses divers domaines, et poursuivre une des ses activité favorite, être la mécène et protectrice des arts du Kansai, et dans une seconde mesure, de Kou.

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