Le Fugitif et la Paumée~[Alibaba&Katara]

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Le Fugitif et la Paumée [Ft Alibaba]

Avant de finir dans cette situation Katara s’était retrouver sur un navire en embarquement pour Sindoria, c’était un navire marchand qui avait de nombreuse transaction avec le pays en question, d’ailleurs il semblait plutôt bien défendu : il y en avait pas mal de garde qui se baladait sur le bateau, il y en avait également près de la cale. Katara elle, était simplement rester sur le pont. Elle se ressassait les problèmes avant l’embarquement.

D’abord la madame était arrivée particulièrement en retard sur place, cette imbécile voulait se lever en même temps que le soleil mais avait fermer ses volets… Ensuite, sur la place de l’embarquement il y avait une foule monstrueuse ! Elle ne pouvait même pas voir le navire qu’elle était censée prendre. L’épéiste de Kou avait donc dû se faufiler tant bien que mal à travers les citoyens et les ouvriers. Elle s’était tromper deux fois de bateau et avait failli embarquer dans un 3eme qui n’était toujours pas le bon.

Finalement elle trouva le navire en question et monta à bord. Le voyage dura presque une journée. Il était maintenant l’après-midi du lendemain et Katara était allongée en étoile sur une plage… Comment me direz-vous ? Et bien finalement la jeune femme s’était finalement encore trompée de bateau. Un garde remarqua sa présence illégale et la força à prendre une barque et de se débrouiller.
Katara était finalement arrivé sur le bord d’une plage avec cette fameuse barque et ne savait absolument pas où elle se trouvait. Epuisée elle s’était allongée en étoile sur le sable de cette plage. Le vent soufflait un peu et le soleil tapait fort.

Katara ne savait toujours pas quoi faire…

HRP: L'image de fond est dégueu, le temps que je trouve le topic ou vous mettez les screens du manga xD.

J’étais épuisé… d’être épuisé. À force de fuir les gardes, je me disais que cette fuite était probablement ridicule et que, si Sinbad avait voulu me garder à l’infirmerie, c’était parce qu’il voulait encore prendre soin de moi comme un père le ferait mais restait que… j’avais honte et je m’enfonçais de plus en plus à pied joint dedans.

Je ne pouvais retourner au palais. Je ne VOULAIS pas retourner au palais avant d’être fort. Je ne pouvais décidément plus regarder Sinbad et sindoriens en face : j’allais prendre le premier bateau qui passait et fuir.

Ainsi j’atteignis sans qu’on me remarque le port. Toutefois, j'étais pris dans mes pensées, ainsi, au milieu de la foule. Les enfants qui criaient et jouaient, les passagers qui entraient et sortaient des navires, les capitaines qui lançaient leurs ordres, tous ces bruits se mélangeaient avec la cohue de son esprit agité en ce moment où i il revoyait en flash les derniers événements. Tant j'étais coincé dans mes remords, que j'atteignis sans m'en rendre compte la plage non loin du village et trébuchai.

-Aouch ! Qu’est-ce que… Ho nom d’un djiin, c’est vivant ! C’est…

Je sentis mes joues s’empourprer. Je me levai d’un bond, déviai le regard un moment, timide d’abord, puis je pris une grand inspiration et je me penchai vers la femme. Je lui souris et lui tendis la main :

-J’espère que vous allée bien ! Vous avez besoin d’aide ? Je peux vous aider peut-être enfin… Je m’appelle…

Sachant les rumeurs qui circulaient sur un étrange blond incendiaire, j’hésitaìs à me présenter, mais je ne savais pas mentir alors je déclarai :

-Je m’appelle Ali…Albabouche !Je me raidis les épaules et lui demandai en échange : Et vous, comment vous appelez-vous ?

Le temps passa... aucune réponse...

Et si cette personne était morte et que le meurtre me tombait dessus? Ce serait une nouvelle farce du Destin ! Je serais peut-être mieux de prendre un bateau et partir au plus vite... mais en même temps...

*Un événement de plus ne peut m'enfoncer davantage, si ? Elle a peut-être un navire, si je fouille sur elle je trouverai peut-être les clefs.*

Je m'agenouillai sur le ''cadavre'', l'observant de plus près. J'allais fouiller ses poches comme un vulgaire voleur ? Je déposai ma main sur elle pour m'apercevoir qu'elle respirait et que sa peau était chaude. Je sursautai et partis en courant.

-Désolé du dérangement! Je ne suis pas un voleur, ni un pervers !

Je me redirigeai vers le port, les mains dans les poches, la tête basse. Je revoyais des flash-backs perturbants : alors... l'inccident avait commencé ici ?

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Le Fugitif et la Paumée [Ft Alibaba]

Finalement la jeune femme s’était assoupie, elle était un peu épuisée en même temps. Katara avait pas mal de kilomètre en barque de seize personnes avec une seule rame. De son point de vue l’île semblait déserte, appart les crabes et les coquillages il n’y avait pas grand-chose (à vrai dire elle n’avait pas encore tourné la tête pour voir le navire sur lequel avait passer la plus grande partie de son voyage s’amarrer au port…). Le temps passa pendant un moment, puis finalement des bruits se firent entendre dans le sable, mais elle dormait encore à moitié.

Ce qui la réveilla fut un coup dans la tête.

- Aouch ! Qu’est-ce que… Ho nom d’un djiin, c’est vivant ! c’est …

Un homme blond, il était tombé en trébuchant sur Katara. C’était bien sa veine…

- J’espère que vous allée bien ! vous avez besoin d’aide ? Je peux vous aider peut-être enfin… je m’appelle…

Oh Katara était toujours dans les vapes, il lui n’était même pas venu à l’esprit de répondre au jeune homme…

- Je m’appelle ali… Albabouche ! et vous, comment vous appelez vous ?

Toujours aucune réponse, c’est qu’elle commençait à être longue au démarrage la jeune femme ! Le jeune commençait à paniquer, il observa de plus près la jeune fille avant de poser sa main dessus, il avait au moins la chance d’avoir la peau douce pensa l’épéiste. Sentant la chaleur du corps de Katara celui-ci sursauta et s’en alla en courant.

- Désola du dérangement ! Je ne suis pas un voleur, ni un pervers !

Voleur ? Pervers ? Il y a des voleurs et des pervers sur cette île ?! Ça voulait dire qu’il y avait de la civilisation !!! Sans plus attendre Katara se leva instantanément, et d’une capacité surhumaine de course à la montre elle rattrapa le jeune homme en fuite. Ne savant pas quoi faire d’autre Katara sauta sur lui pour le faire tomber. Elle s’assit sans gêne sur ce dernier et rapprocha son visage du blondinet, laissant ses cheveux caresser son visage.

- WHOUAH ! elle lui tapota les joues, MAIS T’ES VIVANT !
Katara se redressa tranquillement, et tendit sa main ouverte vers lui.

- Enchantée ! Katara. Dit… ya de la civilisation ici ? Je suis un peu perdue… Il faudrait que je prenne le bateau pour Sindoria, mais… Ya pas de bateau ici !

Elle posa ses coudes à gauches et à droite de son corps, rapprochant encore son visage de lui.

- Et toi tu fais quoi ici ?

[/color]

La personne que j’avais écrasée devait être fâchée, TRÈS fâchée. Peu importe ce que je faisais, je finissais toujours par blesser quelqu’un par inadvertance, son silence témoignait de sa grande colère. Ça y est, nouveau problème diplomatique en vue. Merde !

C’est alors que mon regard se fixa un moment, des images de flamme, de bâtiments détruits, de citoyens en panique en pleurs et courant me revenaient en tête. J’eus un haut-le-cœur (à peine perspective).

Elle me tapota alors les joues; je revins à moi et j’ouvris grand les yeux : de un, cette personne était vivante et elle n’avait aucunement pris ce que j’avais fait ou dit comme un affront. Elle se présenta à moi banalement et se redressa d’un coup, serrant ma main :

Katara:

*Bateau ? Quoi?*

J’étais figé, complètement, devant l’exubérance et la proximité de la demoiselle. À un point tel que je sentais son souffle sur mon visage. Je me reculai un peu, mal à l’aise qu’elle me reconnaisse comme le criminel recherché, mais pour l’instant soit elle jouait très bien la comédie, soit elle était à côté de la plaque –et je ne m’en plaindrais pas. Elle me demanda bêtement :

Katara:

Balbutiant, je déclarai :[/ i]

-Ho, je prenais une marche, comme ça. Je… je…[icolor]

Je sentis mon cœur se serrer dans ma poitrine et ma respiration s’accélérer à ce moment, pris par de nouvelles images, puis pris de vertiges et d’un horrible mal de tête, je déposai ma main contre mon front et vacillai. Je me rattrapai sur l’épaule de la femme que je venais d’éviter, quel idiot. Je croisai un moment ses yeux turquoises, puis je me redressai.

-Ne vous attardez pas à moi,. Je vais aller me reposer chez moi.

Je tournai alors les talons, les épaules raidis et partis au loin. Je n’allais quand même pas lui dire que j’étais en fugue et que je comptais me rendre au palais… Il y avait des limites à clamer ses idioties ! Ça se ferait naturellement bien assez tôt. Du bruit un peu partout dans l’Alliance des sept mers, il devait déjà y en avoir un max.

Et puis... je ne m’enfuyais pas très vite, je tanguais comme un ivrogne qui aurait trop bu et ma vue, à chacun de mes pas, s’embrouillait davantage. Pourquoi maintenant?

*Le malheur s’abat encore sur toi mon pauvre. Retourne donc dormir au palais et laisse-toi juger qu’on en finisse une fois pour tout.*

Je tentais de me raisonner, mais une partie de moi voulait ENCORE tenter la liberté à tout prix. Que faire maintenant?

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