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 "Rien a changé. Pas même toi." [PV Kouen] Le 20/03, année 1001.

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MessageSujet: "Rien a changé. Pas même toi." [PV Kouen] Le 20/03, année 1001.   "Rien a changé. Pas même toi." [PV Kouen] Le 20/03, année 1001. EmptyMar 30 Déc - 1:45

Une terre hostile, voilà ce qu’était ce bout de territoire. Rien à l’horizon. Aucune trace de vie ne s’était manifestée pendant des jours depuis le passage d’une armée exposant fièrement son drapeau aux couleurs rougeoyants. Des empreintes de pas, qui étaient une preuve de leur passage, étaient encore visibles sur la terre sèche et aride. Attendez, finalement il semblait y avoir quelque chose. Deux êtres marchaient côte à côte. Approchons-nous quelques instants. En regardant de plus près, il y avait une personne : une femme pour être plus précis. Cette femme aux longs cheveux d’un rouge flamboyant faisait de grands pas avec un tigre au pelage blanc rayé de bordures aux couleurs caramel. Quel étrange duo ils formaient là. Mais la jeune fille en était fière. Elle aimait tout ce qui était hors du commun, tout ce qui sortait de l’ordinaire, elle qui était une bâtarde. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle a décidé d’entreprendre ce voyage depuis plusieurs années. Quoi de mieux que l’aventure pour vous sortir de votre train-train accablant ?
 
Mais pourquoi venir dans cette partie du monde ? Que cherchait-elle en ces lieux ? Elle cherchait tout simplement l’ultime voyage hors du commun. D’après les rumeurs, il y en aurait une qui serait apparue. Elle voulait aller dans une de ces tours qu’on appelait « Donjon ». Notre jeune demoiselle était enthousiaste et palpitait à tout bout de champ. Mais elle n’était pas naïve à ce point, elle savait pertinemment que seule, elle ne pourrait pas conquérir ces lieux réputés si dangereux. A moins d’avoir la même quantité de Mago que ce Sinbad, dont elle avait lu tous ses œuvres, il était impossible de le faire sans aide. Mais à qui demander de l’aide ? Qui d’assez fou, d’assez puissant et d’assez téméraire oserait s’y aventurer ? Personne à sa connaissance. Elle avait tentée de convaincre bon nombre d’amis rencontré en cours de route, mais aucun  n’étaient assez courageux pour vouloir risquer sa vie là-bas. Maintenant qu’elle y repensait, alors qu’elle fouillait dans ses plus lointains souvenirs, il y avait bien quelqu’un. Oui, cette personne. Mais elle ne pouvait pas compter là-dessus. C’était il y a bien longtemps.
 
-«  Où pourrions-nous trouver de l’aide, Radja ? » Questionna-t-elle, caressant son tigre.
 
Celui-ci restait la fixer avant de la pousser vers l’avant. Ne comprenant pas, elle restait le regarder avant de comprendre pourquoi. Elle s’était tellement plongée dans ses pensées, qu’elle n’avait pas réalisée qu’ils étaient arrivés devant l’entrée d’une capitale. Sa bouche forma progressivement un parfait ovale avant de joindre ses mains et de rentrer à l’intérieur de la ville. La foule était dense, les marchés étaient remplis et les négociations faisaient rage. Elle sautillait devant cette activité qui était important. La rouge était émerveillée par ses nouvelles… Édifices ? Non, attendez une minute. Elle avait déjà vu ce style d’habitat. Ils lui rappelèrent vaguement quelque chose. Mais où et quand est-ce qu’elle les avait vu la dernière fois ? Haussant les épaules, elle décida de ne pas s’y attarder d’avantage et continua sa route. Elle prenait la centrale, celle qui mena directement à des portes de marbre gigantesques, ouvertes sur la Cour. « Des géants ? Des géants vivent ici ?! » Pensait la rouge, décrochant sa mâchoire au sol.
 
-« Halte ! Vous n’êtes pas autorisez à entrer sans autorisation de l’Empereur ou d’un des princes. Veuillez faire demi-tour. » L’arrêta un soldat, mettant sa main devant lui.
-« Ooh, alors c’est ici que vit le chef suprême ? » S’amusa la rouge, positionnant son menton entre ses deux doigts.
-« Vous n’avez pas entendu ? Déguerpissez ! » S’écria une nouvelle fois le soldat.
-« Mais avec plaisir, monsieur. » Répondit-elle, leur faisant une révérence.
 
Elle se tourna vers son tigre et lui fit un clin d’œil. Le félin comprit tout de suite et grogna de mécontentement. Elle n’allait tout de même pas faire quelque chose d’insensé ? Eh bien si. Alors que les deux soldats pensaient qu’elle allait les obéir, elle fit volte-face et courra jusqu’à l’intérieur sans regarder derrière elle, passant entre les deux avec une certaine agilité et rapidité. Les deux hommes ne comprirent pas tout de suite, préférant clignoter plusieurs fois des yeux avant de commencer à se mettre à sa poursuite.
 
-« Qu’est-ce que vous faites ?! Nous vous avons ordonné de déguerpir. Arrêtez-vous !»
 
-« Vous ne m’avez pas dit de quel côté je devais partir ! Ahaha. » Précisa-t-elle, courant comme-ci sa vie en dépendait.
 
Pour dire vrai, elle devait sûrement en dépendre en cet instant même. Mais qu’est-ce qui lui avait pris ? Le tigre se posa la question, lui qui était resté à l’entrée désœuvré et fatigué des comportements de son amie. Quant à elle, elle se retrouva derrière le bâtiment dans ce qui semblait être le jardin. Elle s’y arrêta, oubliant complètement qu’elle était poursuivie. Un pont surplombait le petit ruisseau qui s’écoulait juste en dessous. Étrange. Oui, elle se sentait étrange. Pourquoi cet endroit lui rappelait tant de chose ?
 
-« On te tiens ! »
 
Elle fût soudainement agrippée par le bras, tandis que l’autre lui tenait les cheveux. Elle grimaça de douleur avant de se débattre vainement.


Dernière édition par Jasmine le Jeu 20 Oct - 14:05, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: "Rien a changé. Pas même toi." [PV Kouen] Le 20/03, année 1001.   "Rien a changé. Pas même toi." [PV Kouen] Le 20/03, année 1001. EmptyMer 19 Oct - 21:31




Quand je tente de décrire un souvenir, je ne décris pas le souvenir mais mes pensées à son sujet. La plupart de mes pensées sur mes souvenirs sont des pensées sur mes propres pensées. Je vis dans un monde douloureusement auto référencé. Mais alors puis-je dire que mes souvenirs sont objectifs ? Qu'en est-il donc de la vérité objective ? Pourras-tu m'apaiser, toi qui fus la seule à me conforter ?


Une calme journée semblait se profiler à l’horizon alors qu’une brise chaleureuse vint pourfendre ces rayons étouffant provenant de l’astre solaire. Elle venait sûrement de parcourir quelques centaines de mètres d’existence, transportant avec elle cette tendre fraîcheur qui heurta de manière enjôleuse ton visage inébranlablement dur. Toi qui n’avais de cesse d’aspirer à une vie derrière tes manuscrit réconfortants, en face de tes responsabilités menaçantes, près de ce qui te semble être ton ambition. N’est-elle pas celle d’un autre ? Ne rêverais tu pas d’avoir des rêves ? Tes propres rêves ? Tout ceci n’est il pas machination de la part d’une autre personne ? Et tous ces troubles qui embrument ton esprit, quand est-ce que tu décideras d’ouvrir les yeux sur autres choses que ces manigances dont tu sembles incapable d’en imaginer la silhouette.
La silhouette ? N’es tu donc pas ridicule à songer à l’aspect même d’un complot dont tu es l’unique personne à soupçonner la destinée? Regardes toi, même tes mains ont raisons de toi. Cette fatigue accumulée pour nulle autre raison que ta détermination insensée a finit par donner des spasmes à tes mains athlétiques pourtant reconnues pour être vigoureuses et minutieuses. Tes songes même, ta propre essence semble t’échapper. Tu n’es plus maître de tes pensées qui te font maintenant tomber dans un flot perpétuel d’angoisse maîtrisée. Et cesse dont d’observer de tes orbes impuissantes, tes mains tremblantes ! N’est-ce donc tout ce dont tu es capable ? Contempler l’ampleur des dégâts ? Vulnérable créature dénuée de sens. Tant que tu n’auras pas accepté ta propre nature, tu resteras impuissant. Et ô Dieu que cette frustration te rongera. Et bientôt se sera un autre homme de ce monde promut à un grade aussi haut placé que toi qui te contemplera. Qui jouira de tes vestiges. Et tu n’auras été que l’unique investigateur de ta propre déchéance. Oh. Aurais-tu donc compris qu’il est donc de ton seul ressort, de choisir ta réalité ? Bravo petite âme déchue. Cette lueur dans tes pupilles flamboyantes semble à nouveau brûler d’une irréversible soif de connaissance.
C’est après une myriade de songes tel que ceux-ci, que l’homme à la réputation d’impassibilité éternelle se redressa pour observer à sa fenêtre, une aura ambitieuse l’enveloppant de sa caressante bienfaisance. Tu avais donc compris, que tu étais le seul à pouvoir saisir ta vie en main. Que ce pays avait besoin d’un homme vaillant à la tête de son armée.

C’est donc la tête dans la lune que tu finis par entendre un son irritant te décrochant de tes songes. Un brouhaha incessant provenant du jardin face à tes appartements. Tu semblais reconnaître les voix mélangées des gardes. Ceci t’agaçait que ces gardes soient incapables de rester silencieux lorsque tu le leur demandais. Ton humble personne décida donc de sortir régler le problème à la source. Impossible de se concentrer davantage avec ce grabuge. En sortant de tes quartiers, ton ouïe captait une voix féminine peu anodine, alors ta curiosité fut titillée.

Rapidement tu arrivais à la source de ce mécontentement et quel ne fut pas ta surprise. Malgré ta prestance spectaculaire accentuée par tes innombrables vêtements impériaux, ainsi que ton visage inébranlablement impassible. Voici que ta réputation si longtemps forgée fut vaine, en effet tes orbes flamboyantes s’écarquillèrent d’étonnement. La vue de cette femme aux formes généreusement proportionnées accentuées par sa somptueuse chevelure ardente et à l’audace incontrôlée, nulle doute, il s’agissait bel et bien de ton amie d’enfance. Quelle joie de la revoir de façon si imprévisible d’autant plus.
Mais la surprise visible sur ton visage fut vite brisée par ta colère. Ta voix s’éleva dans l’atmosphère, glaçant le sang des gardes, en même temps que ta main pourfendit l’air en un geste liant tes mots.

- Lâchez-la.
- Mais, Kouen-sama, cette femme a tenté de s’introduire dans le palais impérial !
- Visiblement elle n’a pas fait qu’essayer. Lâchez-la, dorénavant vous l’appellerez Jasmine-sama, ses actes seront sous mon entière responsabilité et elle sera sous ma protection. Quiconque lui manquera de respect aura à faire à moi. Est-ce clair ? Veillez à faire passer ce message.

Sans plus attendre que ta lourde voix ne revienne glacer le sang de ces pauvres hommes, ils déguerpirent, laissant ainsi place à un soulagement immense sur ton visage. Presque libéré. Comme si cette inconnue était un cadeau du ciel pour toi. Mais qui est-elle donc ? De quel pouvoir fait-elle dont preuve pour t’inculquer tant de bienveillance ?
Ta carrure imposante s’avanca vers ce bout de femme et avec une voix candide tu t’interrogea, oubliant tout le reste du monde autre que cette femme enchanteresse.

- Que me vaut cette visite, Jasmine ? Cela faisait bien longtemps. Inutile de t’informer de ta croissance je suppose.

© Truth.
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MessageSujet: Re: "Rien a changé. Pas même toi." [PV Kouen] Le 20/03, année 1001.   "Rien a changé. Pas même toi." [PV Kouen] Le 20/03, année 1001. EmptyJeu 27 Oct - 19:20

« Ne bougez plus ! Nous vous arrêtons pour intrusion ! » S'écria l'un des gardes, d'une voix ferme et autoritaire.

Habituellement, la jeune femme aurait réagit avec humour, mais cette fois-ci, elle ne fit rien. Son esprit divaguait sur les lieux. Pourquoi lui rappelèrent-ils des choses qu'elle ne pensait jamais se remémorer ? Cet endroit lui était beaucoup trop familier. Ces piliers rouges, ces portes, ces toits, ce jardin... Comment cela pouvait-il être possible ? Elle était déjà venu ici, mais quand ? Cela ne faisait que trois ans qu'elle avait entamée son voyage. Pendant deux ans, elle fut aux côtés d'un fanalis qui l'entraîna. Ca ne faisait que quelques mois qu'elle avait repris son voyage et elle ne se rappelait pas d'y avoir mis les pieds durant ce laps de temps. Elle en était certaine. Alors quand était-ce ? Quand diable était-elle venu ici ? Pourquoi cet endroit lui rappelait tant de chose ? Pourquoi se voyait-elle avec ce garçon qui... Ce garçon ?

- « Lâchez-la. » Ordonna une voix inconnue.

Ce nouveau timbre de voix résonna violemment dans son esprit. Son corps se figea. Ses yeux n'osèrent remonter à la source. Elle ne fit ni attention à ce qu'ils se disaient, ni attention lorsque les gardes la lâchèrent. Son corps ne répondait plus de rien si ce n'est au son de cette voix. Tout à coup, une petite fille apparue devant elle. Ses cheveux étaient semblables aux siens mais en plus courts. Elle était vêtue de façon à ce qu'on puisse la différencier de la classe moyenne, visiblement, elle semblait venir de la noblesse. C'était elle lorsqu'elle était plus jeune. Son esprit lui jouait-il des tours ? Etait-il aussi perturbé au point de faire apparaître son double lorsqu'elle avait cinq ans ?

D'un sourire rayonnant, la fillette semblait courir vers quelque chose, ou plutôt, vers quelqu'un qui était de dos. C'était un jeune garçon pour être plus précis. A ce moment, Jasmine relevait progressivement la tête, suivant la trajectoire de son hallucination. Afin d'attirer l'attention du jeune garçon, la petite fille l'interpella et cria son nom :

- « Kouen ! »

C'est alors que la rouge put voir le visage du garçon qui se retournait à l'entente de son nom et qui se confondit avec celui qui lui faisait face actuellement. Ses yeux rencontrèrent ceux de cet homme qu'elle reconnu immédiatement. Sous l'effet de la surprise, elle apporta ses mains à sa bouche qui s'était entre-ouverte. Aucun son ne pouvait sortir. Hallucinait-elle encore ? Avait-elle vraiment retrouvée son ami qu'elle avait tant souhaitée revoir depuis treize longues années ? … Treize ans, cela faisait treize ans que sa mère l'avait empêchée de l'accompagner lors de ses visites au palais. Cela faisait treize ans que Jasmine n'avait plus revu l'un de ses seuls amis lorsqu'elle était jeune. Et le voilà ici, se tenant fièrement devant-elle. Il n'avait pas changé, si ce n'est sa taille et cette nouvelle... Barbichette ?

- « Que me vaut cette visite, Jasmine ? Cela faisait bien longtemps. Inutile de t’informer de ta croissance je suppose. »

Ses mots la réveillèrent soudainement de son état de choc. Maintenant qu'elle était libre de ses actes, elle s'avança à grand pas vers lui et l'entoura désespérément de ses bras. Elle l'agrippait tellement fort qu'elle en froissa les vêtements du prince. Son geste en surpris plus d'un. Les servants et gardes qui passèrent dans les environs étaient interloqués par cette femme qui osait se conduire aussi ouvertement envers leur prince. Bien que Jasmine était déjà du genre à ne pas respecter les codes de la hiérarchie qu'on lui avait inculqué lors de son éducation, en ce moment même, seul le fait de sentir son ami contre elle importait. Elle voulait s'assurer qu'il était bel et bien là. Que tout ceci était réel. Inconsciemment, elle laissa un sourire béât s'étirer sur ses lèvres. Elle n'avait jamais été aussi soulagé de toute sa vie.

Qui aurait cru que l'une de ses premières rencontres lors de son voyage serait des retrouvailles avec lui ? Décidant qu'elle l'avait serré assez longtemps contre elle, elle le relâcha lentement, faisant glisser ses mains le long de ses vêtements. De ses yeux pétillants, elle les ancra dans ceux de son ami et sourit.

- « Heureuse de te revoir, Kouen. Ca faisait si longtemps. » Répondit-elle, d'un ton nostalgique.

Maintenant qu'elle fut assez proche de son ami, elle pouvait le détailler un peu plus. Elle était curieuse à son sujet. Surtout sur ce petit bout de poile à l'extrémité de son menton. Etait-ce une nouvelle mode ? Elle avait une furieuse envie de la toucher et de se moquer de son ami. Mais elle se reteint, ce ne serait pas très correct pour des retrouvailles. Elle s'écarta davantage pour leur laisser de l'espace et continua :

- « Je dois t'avouer que ce n'est pas vraiment une visite... Que ces lieux puissent t'appartenir m'avait complètement sorti de la tête ! » Riait-elle, avant de détourner le regard, visiblement gênée sur le sujet suivant, « Si je n'ai pas put te rendre visite plus tôt c'est parce que... Enfin, tu as connu ma mère. Elle ne me portait pas dans son cœur. » Avoua-t-elle, avant de poser ses mains sur ses hanches et de prendre une posture plus assurée. « Mais dorénavant, je suis libre de mes actes et je pourrai venir te voir quand je voudrai. Il faut bien rattraper le temps perdu ! »
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