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 "Je ne veux pas de ton médicament. Je préfère ressentir la douleur, elle me rappelle que je suis en vie."

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MessageSujet: "Je ne veux pas de ton médicament. Je préfère ressentir la douleur, elle me rappelle que je suis en vie."   "Je ne veux pas de ton médicament. Je préfère ressentir la douleur, elle me rappelle que je suis en vie." EmptyDim 22 Mar - 18:32





MUGEN


feat. Nanashi de Sword Of The Stranger

Identité


ÂGE : 26 ans.
ORIENTATION SEXUELLE : Hétéro.
CAMP : Neutre.
GROUPE : Neutre.
STATUT : Voyageur et combattant à ses heures perdues.
CAPACITÉ(S) : Nous n'allons pas aller par quatre chemins : C'est un Fanalis. Et qui dit Fanalis, dit capacité physique hors normes. Comme tout bon Fanalis qui se respecte, il peut détruire un mur de pierre aussi facilement qu’une simple catapulte. Énervé, il lâche un crie bestial qui peut vous fait vibrer vos tympans. Mais il ne détient pas que de simples capacités comme ceux de ses congénères. Vêtu d’une longue et imposante épée, il l’utilise aussi habilement qu’une plume. Il ne s’en sert que lorsque l’ennemi devient coriace. Généralement et dans la plus grande partie des cas, il n’utilise que sa propre force qui est largement suffisante face à de simples bandits ou autres personnes « normales »

Descriptions


Caractère (cinq lignes minimum) :
D’une nature calme et posée, Mugen est un Fanalis qui aime prendre son temps sur ce qui concerne les choses simples. Il a d’ailleurs souvent cette devise comme référence : « Il en faut peu pour être heureux. » Il se contente que du stricte nécessaire et ne cherche pas la gloire, ni même le pouvoir. Il n’a pas ce genre d’ambition. Pour lui, seuls les fous et les fils à papa ont ce genre d’idées farfelues. Pourquoi vouloir dominer un peuple et se soumettre à des obligations alors que le destin vous offre une vie et une liberté sans frontière ? Mais que voulez-vous… A chacun sa façon de voir le monde. D’ailleurs, il reste fidèle à ses principes qu’il a, en parti, légué à sa chère élève. (Nous en parlerons plus tard.) Souvent seul et aux allures de cow-boy, il aime se reposer à l’ombre tout en mâchouillant sa fidèle brindille. Si vous voulez le trouver, assurez-vous de chercher dans un premier temps des endroits où il y a de l’ombre. Si vous ne le trouver toujours pas, allez faire un tour au Colisée dans l’Empire Reims. Quoi ? Lui, un gladiateur ? Non, non. Il y va seulement de temps en temps pour se battre et y gagner de l’argent pour ainsi acheter ses sucreries. Sucreries… Saviez-vous que Mugen est un teneur en sucre en béton ? C’est un véritable fana sur tout ce qui touche aux desserts et à la pâtisserie. Qui l’aurait cru, vu son gabarit et sa musculature ? Bah tiens, si vous peinez toujours lors de votre recherche, attirez le avec un mille-feuille ou un éclair au chocolat. Ça marchera à tous les coups vu l’odorat surdéveloppé qu’il a. Mais passons. Bon, c’est vrai qu’il n’y va pas que pour l’argent. Comme vous le savez, les combattants du Colisée sont très convoités par des femmes de la noblesse. Il reconnait qu’il n’est pas contre de temps en temps pour une petite visite d’une nuit. On a qu’une seule vie comme il le dirait si bien. Sans réelle patrie, il air à travers le monde et aide son prochain. A chaque jour, une bonne action. L’épéiste est un bon vivant qui n’hésite pas à apporter son aide à celui ou celle qui est dans le besoin. Généreux, il irait même jusqu’à donner ses propres vivres à un mendiant. (Sauf s'il s'agit de sucreries. Alors là, hors de question !) Toutefois, le Fanalis dispose également de défauts. Personne n’est parfait après tout. Il ne s’énerve pas souvent, mais quand il s’emporte, il devient très violent et peut même aller jusqu’à blesser des personnes aux alentours s’en forcément le vouloir. Seule son amie sait le calmer dans l’immédiat.

(+) : Il a une maladie inconnue qui le fait souffrir de temps à autre.
(+) : Il est celui qui a enseigné le maniement de l'épée à Jasmine.

Physique (cinq lignes minimum) :
Ayant un physique particulièrement bien taillé, Mugen a à sa disposition des muscles ondoyants et bien visibles. Sa peau est d’une couleur dorée et sa chevelure de couleur bordeaux, au même titre que ses yeux. Traits typique d’un Fanalis me diriez-vous. Derrière, est positionnée son épée qu’il garde précieusement dans son fourreau et qui longe la totalité de son dos. Pour ce qui est de sa tenue vestimentaire, il porte un kimono noir sans manche, du moins ça y ressemble fortement, sur lequel il rajoute une sorte de veste beige foncée avec des manches retroussées au niveau de ses épaules. Il a également des sandales à ses pieds. Sur son visage est ancré deux cicatrices : une verticale à son oeil droite et une autre juste en dessous de son oeil gauche.

Histoire ou rp-test (prédéfini)



Un bruit gênant et inhabituel se fit entendre. Qu’est-ce que c’était ? C’était un bruit semblable à celui d’un acier qui s’entrechoquait. L’enfant ne comprenait pas. Pourquoi ses mains et ses pieds étaient-ils plus lourds que d’habitude ? Confus, l’enfant s’éveilla. La première chose qu’il vit fut ses chaînes fermement attachées à ses poignets. Il regarda ensuite à ses pieds. Il en était de même pour ses chevilles. Ne comprenant toujours pas, il regarda devant lui. La chaîne sur ses poignets était reliée à un homme devant lui, mais également par derrière, suivit de plusieurs dizaines d’autres dans la même situation. Ils formaient une chaîne humaine, tous reliés les uns aux autres par ce foutu lien d’acier. Ils semblaient attendre quelque chose, tous assis dans un silence religieux. Mais quoi ? Le signe du départ ? Un ordre ? Ou peut-être bien un maître ? L’enfant avait peur. Ses larmes commençaient à flouter sa vision. Que faisait-il ici ? Où étaient ses parents ? Que voulait dire tout ceci ? Quel était cet endroit sombre et dégoutant ?

-« Papa ?... Maman ?... » Murmura d’une faible voix le garçon, tremblant sous la peur.
-« Tais-toi, sal morveux ! » Cria un homme qui semblait vraisemblablement saoul.

L’homme jeta son épée d’un geste vif vers le petit et le trancha. Le sang se mit à couler sur son visage. L’enfant ne comprenait pas. Qu’avait-il fait de mal ? Quel était ce liquide qui coulait juste en-dessous de son œil gauche ? Il y déposa sa main. Une forte douleur se fit ressentir, il reçut comme un électro-choque. Regardant sa main, il y vit un liquide rouge. Il tremblait. Tout son être était apeuré. C’était du sang. Cet homme lui avait ouvert une plaie juste en dessous de son œil. Cette blessure allait sûrement devenir une cicatrice. Terrifié, l’enfant recula bruyamment sous les bruits assourdissants de ses chaînes. Les autres le regardèrent, impuissants face à cette scène. Le garçon n’arrivait pas à trouver une réponse logique à cette situation. Puis soudain, un autre arriva par derrière et bloqua le bras de son congénère, furieux.

-« Que fais-tu ? Es-tu devenu fou ?! Ce petit est la marchandise qui a le plus de valeur ici. C’est un fanalis ! Je ne veux pas que son prix soit affecté par plus de dégâts. Compris ? »

L’homme qui venait d’entailler l’enfant d’à peine 7 ans rangea son arme et repartit à son poste tout en marmonnant des choses inaudibles à son supérieur. Celui-ci regarda vainement l’enfant avant de s’éclipser. Profitant de ce moment, une femme s’approcha doucement de l’enfant qui recula de nouveau, effrayé. Il ne voulait pas souffrir de nouveau. Mais la femme mit ses mains devant-elle, se voulant la plus douce possible.

-« Non, n’ais pas peur. Je ne te veux aucun mal. » Dit-elle d’une voix  rassurante. Elle arrachait un bout d’une de ses manches et la lui tendit. « Tiens, prends le pour essuyer ce sang sur ton visage. »

D’abord hésitant, le garçon regardait la jeune femme de haut en bas puis s’approcha pour arracher le bout de tissu de ses mains et  revenir à sa place. On aurait dit un enfant sauvage. La jeune femme lui offrit un sourire maternel, ce qui étonnait le petit fanalis. Elle ne semblait pas lui vouloir de mal. Peut-être pourrait-il lui poser une question ? Mais il hésitait fortement. La dernière fois qu’il avait parlé, on lui a tranché le visage. Ravalant sa salive, il serrait le bout de tissu maintenant tinté de rouge et osa s’exprimer.

-« Onee-chan, où sommes-nous ? Pourquoi ce monsieur nous tient-il ici ? Où sont mes parents ? »

La dite « onee-chan » le regardait avec compassion. Cet enfant ne semblait pas du tout au courant de ce qui était entrain de leur arriver.

-« Je ne sais pas, mon enfant. Mais ce que je sais, c’est que nous avons été capturés par ces brigands et que nous allons sûrement être vendus au plus offrant. Nous allons devenir des esclaves, je le crains… » Répondit-elle, baissant le regard.

A ces mots, les personnes aux alentours regardèrent ailleurs, dégoûtés par cette vie que leur offrait ce foutue destin. L’enfant se mit de nouveau à avoir les larmes aux yeux. Comment cela pouvait-être possible ? Il y a à peine quelques heures, il était avec ses parents sur un vaste territoire qui… Qui… Qui ressemblait à quoi ? Mais d’où est-ce qu’il venait déjà ? Et ses parents, à quoi ressemblaient-ils ? Et si ça faisait plusieurs jours qu’ils s’étaient séparés ? Plus il voulait se souvenir de son passé, plus son esprit devenait flou et son crâne douloureux. Alors il arrêtait d’y penser. Il fallait qu’il se mette à l’évidence : ses parents n’étaient sûrement pas dans les environs et ne viendront pas le secourir. Cet espace clos semblait bien caché et à l’abri des regards. Serrant ses poings, l’enfant essuyait ses larmes et donna un coup dans le sol, créant un mini cratère. Surprise par ce soudain changement, la jeune femme recula. Les autres se contentèrent de regarder cet enfant, ahuris. Soudain, la jeune femme tilta.

-« Mais oui, bien sûr, tu es un fanalis ! »

L’enfant releva le regard, ne comprenant pas où elle voulait en venir. C’était étrange, elle semblait avoir retrouvée espoir. Pas pour elle, mais envers lui, cet enfant dit « Fanalis ». Elle s’approchait un peu plus et lui demandait de casser ses chaînes. La confusion se lisait dans le jeune regard du garçon, mais la jeune femme lui demandait de lui faire confiance. Il fallait qu’il utilise toute sa force pour briser ce tas de fer. Il restait regarder ses chaînes quelques instants. Pouvait-il vraiment se libérer de cette emprise ? Comme-ci il voulait trouver une réponse à sa question, son regard se tournait ensuite vers le cratère qu’il avait creusé de sa poigne. Non, le doute n’était pas permis s’il voulait revoir un jour le goût de la liberté et ne pas se soumettre à autrui. Il pouvait le faire. Il prit une grande inspiration et écartait au maximum des poignets. Tout le monde le regardait avec espoir. Dès « Aller, gamin… », « Tu peux le faire. » Furent murmurés dans la prison de fer.

Les chaînes se défèrent légèrement, mais elles ne voulaient toujours pas céder. Les veines dans les bras du jeune garçon gonflèrent d’adrénalines. Mais quand allaient-elles se casser ? D’un geste vif, il reprit de plus bel sa tentative et cette fois-ci, ce lien qui l’enchaînait aux autres captifs se brisa. Il enchaîna sur ses mollets qui furent rapidement libres eux aussi. Maintenant libre de ses actes, le jeune fanalis se releva et se mit devant les autres, les bras ouverts.

-« Ca y est, Onee-chan. Je suis libre ! » S’écria-t-il, le sourire aux lèvres.

La femme le regardait fièrement avant de déposer sa main délicatement sur la chevelure du garçon.

-« Maintenant vas-y. »
-« Eh ? » Lâcha-t-il, confus. « Non, pas question. Pas sans vous ! Je ne-… »
-« Il le faut. Seul, tu as plus de chance de t’échapper. Si nous partons tous avec toi, nous serions trop nombreux pour nous enfuir discrètement. »

Le fanalis baissa la tête. Devait-il vraiment s’enfuir et se retrouver seul, confronté à lui-même ? Pour être franc, il préférait se retrouver seul que d’être esclave pour le restant de sa vie.

-« Sois libre… Pour nous tous. » Ajouta la jeune femme pour le rassurer et l’inciter à partir.

Il finit par accepter sa requête et acquiesça. Un prisonnier lui montra une fenêtre, la seule de cette pièce. Prenant de l’élan, il sauta habilement jusqu’au rebord et brisa la vitre. Le bruit alerta immédiatement les bandits qui rentrèrent dans un grand fracas.

-« Qu’est-ce que ? » Se demanda l’un deux, avant de relever le regard vers la fenêtre. « Ne le laissez pas s’échapper ! »

L’enfant regardait une dernière fois la jeune femme et les autres. Celle-ci hochait la tête, lui faisant comprendre que ça irait pour eux. Il hocha également la sienne avant de sauter et de disparaître sous la lumière aveuglante du soleil. La bête fut lâchée.


[13 ANS PLUS TARD…]


La journée semblait parfaite. Le soleil était à son zénith et pas un seul nuage à l’horizon. N’importe qui serait ravi qu’une telle journée s’annonce. Sauf peut-être un jeune homme qui se trouvait allongé à l’ombre, les bras derrière la tête posé sur les racines d’un arbre. Une épée qui lui tenait compagnie était déposée sagement sur le tronc. Ses cheveux étaient de couleur bordeaux attachés à une queue de cheval au niveau de sa nuque. Son bras gauche était enroulé par  un fin tissu blanc, c’était sans nul doute celui de cette femme qu’il appelait autrefois « Onee-chan ». Vu sa corpulence, il devait avoisiner la vingtaine. Il semblait mâchouiller une brindille pour oublier cette chaleur insoutenable. Il grinça des dents, quel ennuie. Rien ne semblait laisser paraître qu’il y allait avoir de l’action, et pourtant…

-« Lâchez-moi bande de porcs ! » Cria avec fermeté une voix féminine.

Le fanalis sourit.

-« C’est quand on s’y attend le moins qu’il se produit toujours quelque chose, hein ? » Se murmura-t-il.

Il se releva lentement avant de s’étirer. -Prends tout ton temps surtout…- Il se mit debout, prit son épée puis s’avançait vers la source d’où provenait cette voix. Il en entendait d’autres, des voix plus graves. Celles d’homme sans nul doute. Après avoir parcouru quelques trentaines de mètres et quelques buissons qui le séparaient de ces voix, il y vit cinq brigands. Ils formèrent tous un cercle quelque peu incomplet. Une jeune fille aux cheveux rouges, qui devait avoir à peine la majorité, se trouvait au beau milieu de ces énergumènes remplit de testostérone. Arquant un sourcil, le fanalis se demandait comment elle avait bien pu se retrouver dans ce genre de situation ? Et surtout, pourquoi semblait-elle voyager seule ? Ah non, il y avait un tigre… Attendez… UN TIGRE ? Il se frottait les yeux pour s’assurer que ce n’était pas une illusion. Non, c’était bien un tigre. Celui-ci sifflait pour intimider les hommes et qu’ils puissent laisser sa maîtresse, ce qui marchait pour la majorité. Mais un des leurs arrivait par derrière et réussit à l’attacher contre un tronc d’arbre.

Ce brigand semblait fier de sa force physique. Ce qui amusa notre jeune homme. C’est vrai qu’il avait l’air plus fort qu’un homme moyen, mais contre lui, il ne lui arriverait même pas à la cheville. Et encore, il exagérait en disant cela. Un crie la fit sortir de sa rêverie. La jeune demoiselle venait de donner un coup de pied dans les bijoux d’un des brigands. « Alors ça, ça doit faire mal. » Se disait-il. Décidant d’intervenir avant que ça ne dégénère, il repoussait une branche d’une main et sortit de la végétation. Un des hommes s’apprêtait à donner une correction à la rouge quand le fanalis apparut derrière lui pour bloquer son geste d’une poigne ferme. Tous reculèrent d’un pas, surpris de cet étranger qui était arrivé comme une flèche.

-« Qu-qui es-tu, enfoiré ? »
-« Eh bien, eh bien. Ce n’est pas une façon de traiter les femmes, messieurs. »

Avant qu’ils n’aient pu tenter quoique ce soit contre lui, le fanalis tordit le bras du bandit derrière son dos, ce qui le fit hurler de douleur. Ses compagnons s’arrêtèrent automatiquement. C’était leur chef qui était détenu. Pourtant, il était connu pour sa force, alors pourquoi n’arrivait-il pas à se dégager ?

« Maintenant, vous allez lâcher cette jeune fille. Compris ? »

N’ayant aucune réponse, il arqua ses lèvres et resserra un peu plus son emprise. Le bandit grimaçait de douleur avant de leur ordonner ce que venait de dire l’étranger. Les autres se regardèrent avant de libérer la rouge comme il leur avait demandé. Celle-ci se précipitait vers son tigre pour l’aider. Le fanalis relâcha le bras du brigand et leur conseilla de s’en aller avant qu’il ne change d’avis. Ce qu’ils firent, frustrés d’avoir été humilié aussi facilement. Notre homme soupirait puis se grattait la tête. Ça avait été trop facile. Mais bon, il n’y avait aucun blessé, c’était le principal.

-« Merci de m’avoir sauvé. Sans votre intervention, je n’aurai jamais pu m’en débarrasser. »
-« Hm ? Oh, ce n’est rien. Vous n’avez rien de casser ? » S’enquit-il.

La rouge secoua sa tête pour le rassurer. Puis, étrangement, ses yeux devinrent des étoiles filantes. Elle se mit à le regarder avec admiration sur tous les angles, comme-ci c’était une divinité. Il ne comprenait pas son comportement. Que lui arrivait-il ?

-« Dites, vous êtes bien un fanalis ? » Demandait-elle.
-« Oui… Mais comment vous- »
-« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN. Je vais m’évanouir. »

Et c’est ce qu’elle fit, la main sur le front. Le fanalis la rattrapait de justesse, une goutte de sueur perlant derrière sa tête. Venait-il de sauver une folle ? Courbé dans les bras du jeune homme, elle semblait jouer une scène dramatique… C’était drôle à voir.

-« Heu… Mademoiselle ? »
-« Oh, excusez-moi. » Dit-elle, avant de se relever et de lui sourire. « Cela peut paraître étrange, mais j’adore les fanalis. Alors dès que j’en vois un, je deviens hystérique. Héhé. » Elle marquait une pause, semblant hésitante sur ce qu’elle allait dire. Elle décida tout de même de se lancer. « Au vu de ce qu’il s’est passé, je me rends compte que je ne suis pas encore assez forte pour pouvoir parcourir le monde dans mon état actuel... Ni même de pouvoir protéger qui que ce soit… Je vous ai vu à l’œuvre. Alors j’aimerai vous demander une faveur : Pourriez-vous m’entraîner à devenir plus forte ? »

Croisant les bras, le jeune homme restait perplexe face à cette femme. Il était rare de voir des personnes adorer les fanalis. Disait-elle vraiment la vérité ? Vu son comportement précédent, sûrement. Mais tout de même… Lorsqu’elle lui demandait s’il voulait bien devenir en quelque sorte son Maître, il écarquilla ses yeux. Il ne s’attendait vraiment pas à ça. Il venait de la sauver, et elle lui demandait une faveur ? Elle ne manquait pas d’audace, il fallait le reconnaître. Mais elle voulait devenir plus forte. Qui ne le voulait pas dans ce monde ? Certains le faisaient pour le pouvoir, pour la conquête de territoire ou encore pour simplement se battre. Mais cette fille ne voulait rien de tout ça. Comme elle l’a dit, elle voulait uniquement devenir plus forte pour pouvoir protéger. Voilà une façon de penser qu’aimait le fanalis. Peut-être qu’il pourrait le faire après tout, rendre ce service. Ca lui fera de la compagnie pendant un certain temps. Soupirant, il s’avançait vers elle et lui offrit sa main, le sourire aux lèvres.

-« C’est d’accord, j’accepte de t’entraîner. »
-« C’est vrai ? Merci mille fois ! Je vous revaudrai ça. » Confirma-telle saisissant sa main avant de se taper le front, l’air d’avoir oubliée quelque chose. « Oh, mais où sont mes manières ? Je m’appelle Jasmine, enchanté. »
-« Mugen, ravi de faire ta connaissance. Bien que maintenant je sois ton Maître, devrais-tu rajouter Maître Mugen ? Mugen-sensei ? Ou bien encore Mugen-sama ? » Mijota-t-il, l’air sérieux.
-« Crève. » Répondit-elle, l’air complètement désabusée.

Et c'est ainsi, qu'il rencontra sa chère élève qui fut si tendre avec lui. (Et vis-versa.)


Soi réel



Code du règlement : Validé !
Pseudonyme : Heu... Sucre-sama ?
Comment avez-vous connu ce forum : J'y suis déjà inscrite.
Autre chose ? : Je ne sais pas si la partie avec Jasmine est trop lourde ? .w.


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Dernière édition par Mugen le Ven 1 Mai - 0:50, édité 3 fois
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۞ 1ère apparition : 18/04/2013

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Âamet Loueseni
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MessageSujet: Re: "Je ne veux pas de ton médicament. Je préfère ressentir la douleur, elle me rappelle que je suis en vie."   "Je ne veux pas de ton médicament. Je préfère ressentir la douleur, elle me rappelle que je suis en vie." EmptyDim 22 Mar - 21:29

Rebienvenue :P

J'ai réparé ton code!

Faut pas mettre de [ url= machin faut juste remplacer le lien sans enlever les petites apostrophes et tout se fait tout seul xD
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MessageSujet: Re: "Je ne veux pas de ton médicament. Je préfère ressentir la douleur, elle me rappelle que je suis en vie."   "Je ne veux pas de ton médicament. Je préfère ressentir la douleur, elle me rappelle que je suis en vie." EmptyDim 22 Mar - 21:34

J'aurais presque envie de dire que Prime & Mugen s'entendraient à merveille en bons fanalis qui cherchent pas forcément la bagarre xD Mais étant donné qu'il semble assez jaloux de l'affection que Jasmine a pour lui... -ça va pas s'arranger quand ils se rencontreront in RP ouin! Ne deviendront-ils jamais amis?-

Par contre si/quand Cynron est/sera pris... Un petit délire de travelos avec deux élèves qui se marrent comme des bécasses s'impose in RP! èvé
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MessageSujet: Re: "Je ne veux pas de ton médicament. Je préfère ressentir la douleur, elle me rappelle que je suis en vie."   "Je ne veux pas de ton médicament. Je préfère ressentir la douleur, elle me rappelle que je suis en vie." EmptyLun 23 Mar - 21:36

Aâmet : Haaaaa, c'est pour ça que je galère à chaque fois pour les images de la présentation ! Merci Aâmet xD
Par contre, on ne voit que la moitié de son visage maintenant. On ne peut pas régler le positionnement de l"image ? ;;

Famita : Surtout qu'il n'a encore jamais rencontré de Fanalis. Même lorsqu'il va faire un tour à Reim. Il sera surpris s'il croise Prime. c:
Se travestir pour se prendre un fou rire? Alors là, Mugen ne dit pas non !
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MessageSujet: Re: "Je ne veux pas de ton médicament. Je préfère ressentir la douleur, elle me rappelle que je suis en vie."   "Je ne veux pas de ton médicament. Je préfère ressentir la douleur, elle me rappelle que je suis en vie." EmptyLun 23 Mar - 21:39

Non tu peux pas positionner mais tu peux découper l'image au niveau de sa hauteur pour qu'elle remonte.

Tu veux que je le fasse ou...?
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"Je ne veux pas de ton médicament. Je préfère ressentir la douleur, elle me rappelle que je suis en vie." Empty
MessageSujet: Re: "Je ne veux pas de ton médicament. Je préfère ressentir la douleur, elle me rappelle que je suis en vie."   "Je ne veux pas de ton médicament. Je préfère ressentir la douleur, elle me rappelle que je suis en vie." EmptyMar 24 Mar - 17:08

Si tu as le temps, je veux bien. Sinon, je peux le faire ! c:
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MessageSujet: Re: "Je ne veux pas de ton médicament. Je préfère ressentir la douleur, elle me rappelle que je suis en vie."   "Je ne veux pas de ton médicament. Je préfère ressentir la douleur, elle me rappelle que je suis en vie." EmptyVen 1 Mai - 1:16

Mais pourquoi tu dis que c'est caca? ._. ... C'est super au contraire! -D': Onee-chan n'a pas survécu, hein? Hein?- J'ai tellement adoré la manière d'écrire ton histoire que ça m'encourage à faire mieux pour nos RPs éè -truc qui peut avoir l'air d'avoir aucun rapport mais pour elle ça en a- Je ne trouve pas que Jasmine prenne une trop grosse place x3 C'est normal vu le lien qui les lie !

Famita: u_u Si seulement j'avais eu un sensei comme ça...
Cynron: Pourquoi? Je suis très bien!
Famita: ... Rends-moi mes talons.
Cynron -lui fait un bras d'honneur avant de s'en aller-

Bref, j'aime ta fiche et je la valide ♥



   



   

Tout est bon !
Eh bien tout est en ordre et tu es finalement validé ! ♥
N'hésite pas te faire une fiche de relation  
dans cette partie du forum et de demander un RP ici !
Amuse toi bien avec nous ! 8D.


 

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MessageSujet: Re: "Je ne veux pas de ton médicament. Je préfère ressentir la douleur, elle me rappelle que je suis en vie."   "Je ne veux pas de ton médicament. Je préfère ressentir la douleur, elle me rappelle que je suis en vie." Empty

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