ÂGE : 22 ans.
ORIENTATION SEXUELLE : Hétéro.
CAMP : Roi Sinbad.
GROUPE : Huit généraux.
STATUT : Membre de la famille royale de Heliohapt, ami et conseiller de Sinbad.
CAPACITÉS :

Caractère :

« Depuis que tu sais que les épées sont biens, je peux te dire que tu as un grand futur devant toi ! Euh… Nanibaba-kun… ? »

Cette phrase résume très bien le caractère que j’ai vis-à-vis du combat. Je suis un guerrier dans l’âme, un vrai. N’est pas général de Sinbad qui veut. De fait, j’adore combattre. Surtout lorsqu’il s’agit de l’escrime. C’est d’ailleurs ma passion ça, l’escrime ; même si certaines personnes (Notons que le personnage se met à lorgner Yamuraiha au moment de ses aveux) ne peuvent pas le comprendre et apprécier l’art subtil que j’exerce presque tous les jours. Ma passion est telle, que je suis devenu le plus grand bretteur de Sindoria, ainsi que l’un des meilleurs sur Terre. L’escrime, c’est mon tout, c’est ma vie, mon dada en quelques sortes. D’ailleurs, je suis intraitable lorsque je me bats, ou lorsque j’apprends deux trois trucs à mes élèves. On ne badine pas avec ma passion ! Agressif ? Je peux l’être lorsqu’on traite cet art de n’importe quel nom ! Je suis également un gros fêtard. Il n’y a pas d’autres mots pour me qualifier. J’aime beaucoup les fêtes. M’amuser et boire sont des activités qui me sont presque vitales, sans quoi ma vie serait assez terne. J’aime également les femmes bien en chair. Il m’arrive très souvent de draguer et de tripatouiller des danseuses ou encore des péripatéticiennes. Qui est-ce qui a dit que Sinbad est le seul dragueur du coin ? Héhé ! Quoi… ? Yamuraiha est mon type de femme ? Cette vache à lait ?! Autant crever… Elle est d’ailleurs la seule personne qui réussit à me faire sortir de mes gonds par sa seule présence… C’est vous dire ! Même si je dois avouer que derrière ce brin de femme, se cache une guerrière que je respecte sincèrement.

Physique : Physiquement ? Je dirais que je ne suis pas aussi effrayant que mes confrères (Masrur, Drakon, Hinahoho). A tout casser, je dois faire cent quatre-vingt centimètres pour une soixantaine de kilos à peu près. Ma silhouette est fluette, athlétique. Mes muscles sont saillants, bien dessinés et ne tombent pas dans l’excès. Somme toute, j’ai un physique plutôt banal, passe partout. On dit cependant qu’il est beau. Mon minois je veux dire. Celui-ci est doux et toujours éclairci d’un beau sourire à en faire rougir moult donzelles. Il dégage quelque chose d’apaisant, de spécial. Les traits de mon visage sont fins, comme s’ils avaient été sculptés par une main habile et experte. En effet, j’ai un nez caucasien et de petites lèvres qui forment une bouche discrète. Ma face est un petit peu allongée vers la mâchoire, mais ovale en somme. L’ensemble donne un visage beaucoup plus long que large. J’ai des yeux verts comme le jade. Beaucoup de femmes de Sindoria viennent à me complimenter au sujet de mes yeux qu’on qualifie généralement d’envoutants. Ma peau mate, caractéristique d’Heliohapt, est douce et soyeuse. J’ai une longue chevelure blanche. Une merveille je pense. Côté vestimentaire, c’est simple : J’arbore des tenues simples, ainsi que le manteau standard d’un général de Sindoria. Les touches extravagantes sont surtout les bijoux que j’arbore à la manière d’une mijaurée des hautes strates.

Ah ? Mon histoire ? Totalement banale, j’vous jure. Toujours est-il que je suis natif de Heliohapt, un petit pays situé au nord du continent noir. J’étais né avec une cuiller d’argent dans la bouche pour ainsi dire, puisqu’issu de la grande famille royale. Ces contrées abritaient des magiciens doués, surtout dans le domaine de la médecine. Néanmoins, ces derniers étaient utilisés par la famille royale, pour des luttes absurdes concernant le pouvoir et tout ce qui était en relation de près ou de loin. L’assassinat des opposants politiques par des maladies était donc monnaie courante dans ce petit pays. Un fait qui constituait l’unique discrimination et le seul défaut majeur du pays. C’est donc dans cette atmosphère assez sordide que je fis mes premiers pas. Je ne sais pas s’il s’agissait d’un instinct ou autre chose dans le genre, mais j’avais nourri une aversion pour la magie dès mon plus jeune âge. De plus, la faible quantité de magoi dont je disposais ne me permettait pas d’exercer pleinement cet art que j’abandonnai aussitôt. Cependant, la famille royale ne se découragea point et m’enseigna l’art de l’escrime. Un art où j’excellais bien vite au point de devenir un guerrier prometteur. D’ailleurs, si j’étais un bon garçon poli et assez timide, tout ceci changea du tout au tout lors de ma rencontre fortuite avec Sinbad que je me mis à imiter. C’est à cette occasion je crois, que mon pays fit une alliance avec Sindoria. Une alliance qui allait consolider les relations que j’avais avec cet homme. C’est dès lors que je pris la décision de cheminer avec lui, son caractère et ses intentions allant dans mon sens. L’occasion aussi de quitter mon trou paumé plein de serpents, pour découvrir le monde tel qu’il est. Une idée qu’il approuva aussitôt, faisant de moi l’un de ses plus proches amis. Le temps passa et je gagnais en maturité. En maturité, mais aussi en force, puisque j’avais fini par devenir l’un de ses fameux huit généraux, sans aucun doute le plus doué en escrime, et ce, loin devant l’ex-gladiateur. Je lui avais juré fidélité jusqu’à la mort, et l’homme était devenu mon roi par la même occasion. En devenant l’un de ses généraux, je représentais également mon lointain pays dans le sien, et je confortais le fait que malgré mon faible potentiel en magie, j’avais de l’énergie à revendre ! D’ailleurs, il n’y avait qu’à voir mes prouesses à Sindoria, pour comprendre, héhé.

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