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 Maeko, Ermite ou Princesse des bois ? [Fini]

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AuteurMessage


۞ 1ère apparition : 16/09/2016

۞ Rukhs : 142

۞ Rukh rose : Personne

۞ Localisation : Forêt de Sindoria

Maeko
Maeko
VAGABOND ET CHASSEUR

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MessageSujet: Maeko, Ermite ou Princesse des bois ? [Fini]   Maeko, Ermite ou Princesse des bois ? [Fini] EmptyDim 6 Nov - 17:46


Prénom : Maeko
Surnom : L'Ermite
Date de naissance : 21/07/985

Orientation : Hétérosexuelle

Groupe : Hors-la-loi
Camp : Neutre
Statut : Jeune ermite

Avatar : San, Princesse Mononoke
Capacités
 


  • Enfant de la nature : Permet de pouvoir survivre, de manière indépendante dans l'environnement naturel. De plus, cette capacité illustre le fait de pouvoir chasser, pêcher, faire un feu...
  • A pas de loup : Permet de se dissimuler et de progresser en silence, comme un prédateur à l'affût.
  • Telle une griffe : Sa maîtrise du combat à la dague est avancée, basée presque exclusivement sur l'esquive et le déplacement. Les coups portés sont rapides et précis, portés à la gorge si possible.
  • En un murmure : Permet de deviner par instinct et par le regard de son interlocuteur les sentiments les plus évidents. Capacité qui sera jouée en rp et qui n'a aucune visée à être juste ou infaillible.



A quoi ressembles-tu ?
 
"Ermite"... Mais que signifiait un tel terme pour les villageois définissant Maeko ? L'on s'attendait, à s'en méprendre à tomber nez à nez avec un vieillard aigri par une vie misérable qui, par amertume, destinait la dernière partie de sa vie à s'isoler loin de toute civilisation. Il était alors question de découvrir une vieille barbe aux poils longs, grisâtres et mal entretenus, une caboche d'un homme rongé par les âges, se nourrissant quasi exclusivement de champignons, qui, dirait-on, altérerait son esprit et sa raison. Alors, certains curieux s'en allaient, décidés à trouver l'ermite, pour des désordres sentimentaux ou plus rarement pour découvrir son mode de vie. Alors, près d'un cours d'eau, ils pouvaient apercevoir une silhouette à genoux, se servant de ses deux mains pour amener l'eau jusqu'à sa bouche. L'ermite était là !

Cette personne d'1m60 se relevait alors, parée d'un lourd manteau de poils blancs, presque immaculés. Peu songeait alors qu'il s'agissait de la fourrure d'un grand loup blanc, animal rare dans ces régions. Se tenant fièrement, elle se tournait vers ceux qui l'épiaient, sous couvert d'un feuillage dense. C'était une jeune femme, tout juste dans l'âge adulte, d'apparence plutôt frêle et fine. Coiffée alors de cette fourrure blanche, elle ôtait celle-ci avec une certaine élégance. Subitement, les regards étaient attirés tantôt vers ses marques sur le visage, décrites par un rouge argileux en forme de triangle inversé le long des joues et sur le front; tantôt, ses accessoires tribaux marquaient la mémoire. En effet, elle possédait comme office de broche un collier en dents de loup, de fins brassards de cuir animal sur chaque bras, d'imposantes boucles d'oreille rondes et nacrées et enfin un serre-tête de cuir lui aussi.

Maeko avait des cheveux châtains coupés à la haute nuque, mettant en valeur plus encore son visage. Elle se différenciait alors un peu plus de l'image que l'on s'en faisait : son visage était plutôt d'un ovale imparfait, mais ses traits étaient d'une grande finesse. Certains la qualifiaient de princesse des bois quand ils évoquaient ses lèvres assez charnues, son nez aquilin et son regard perçant, animé par une paire de grands yeux traqueurs, noisettes. Quittant cette fourrure, elle dévoilait alors une robe d'un bleu de ciel étoilé, usée, descendant jusqu'en haut du genou. Par dessus, s'agrémentant avec justesse à son manteau, elle ajoutait un plastron de même fourrure, sans manche, laissant ses épaules alors nues et dissimulant des formes subtiles. Du haut du genou aux chevilles, rien n'habillait la jeune femme qui portait alors, pour assurer ses pas, des bottines en peau de cerf. Ajoutons alors une dague triangulaire, redoutablement aiguisée, dotée de deux marques rouge argileux, qu'elle rangeait soigneusement à son côté sur son plastron.


Comment penses-tu ?
 
Une ermite donc... Une femme vivant en marge de la société et de toute civilisation, ne pouvait entretenir une relation avec d'autres êtres humains qui ne susciteraient pas la gêne ou la crainte. Elle n'avait aucune prédisposition à discuter, brisant d'elle même la plupart des conversations engagées par autrui par un mutisme assumé. Certains s'intéressaient alors plus encore à elle, tandis que d'autres se heurtaient à un mur de silence qu'ils n'osaient donc plus briser. Si le premier cas apparaissait, elle se retirait, ne laissant plus le choix à son interlocuteur, qui eut déjà du mal à la trouver dans sa forêt. Par la maigre description dont vous bénéficiez, lecteur, vous vous imaginerez sans doute qu'elle était dans ce culte du mystère, qu'elle aimait entretenir, mais les faits sont tout autres. Maeko était une femme qui vivait seule, et ne pouvait décemment pas comprendre une existence portée sur la solidarité et l'esprit de communautarisme. Sa seule peur résidait dans le fait de perdre cette liberté dont elle jouissait chaque jour et de se retrouver à exercer une profession dans le seul objectif d'une vie cantonnée et limitée. Pour tout Homme, sa voie était donc empreinte de mystère alors qu'elle n'y voyait que la satisfaction des plaisirs naturels.

La parole détournait de la contemplation, et refuser la contemplation était un signe de béotisme. Le silence et la méditation menaient à un plus haut degré de compréhension de l'environnement, du monde. Elle s'attachait ainsi à la beauté du naturel, pouvant s'y égarer de longues heures, portant son âme à la réflexion. Marchant d'un pas léger, posant ses mains sur chaque tronc qu'elle croisait, respirant à plein poumon, son regard se perdait alors dans le feuillage ou dans un ciel étoilé. Alors, seul le bruissement de ses pas sur l'herbe craquante d'une matinée humide trahissait sa présence dans la forêt. Parfois, de sa voix douce et sans émotion, elle perturbait le silence environnant, murmurant à l'écorce d'un chêne centenaire ou d'un jeune bouleau impétueux.

Maeko était d'une sérénité et d'une quiétude que l'on pouvait juger d'imperturbable. Ses mouvements étaient toujours précis mais jamais stressés, son regard acéré mais jamais perturbé et enfin sa parole paisible, jamais tremblante. Son projet de vie était simplement une symbiose avec la nature, et portait du recul sur l'existence humaine. De par ce mode de vie, elle abritait en elle une sagesse relative par rapport à son jeune âge, s'exprimant par image, cherchant à faire découvrir les réponses de ses hôtes par eux-mêmes. Tout esprit un tant soit peu guidé avait la réponse à ses propres demandes. Telle était la philosophie profondément ancrée en elle.

Une fois les aspects de l'ermite abordé, il n'en reste pas moins des traits qui pourraient s'avérer intéressants. Maeko, quoique jeune femme, n'appréciait en rien de se parer de tenues, ravissant les yeux d'autrui. La coquetterie lui était inconnue, alors que son charme naturel était déjà évident. Il n'était pas étrange alors que l'Ermite faisait parler d'elle, proche des lieux où elle s'installait pour un temps. Certains esprits peu sains la qualifiaient d'esprit de la Nature, veillant sur la faune et la flore. Il lui était alors prêté tout une légende tiré du folklore local. Pourtant, la jeune femme était parfaitement humaine, animée de sentiments et de besoins. Sa seule différence était d'en être consciente et d'en avoir le contrôle par cette sagesse. Il était alors difficile de la voir porter des expressions faciales, sa vie solitaire ne l'aidant pas à garder ce langage social. En échange, elle avait l'incroyable faculté d'obtenir ce qu'elle voulait de quelqu'un d'un simple échange de regard, accompagné d'un silence entendu.

Accordons à présent à cela son détachement poussé de l'Homme. Quand un événement précis venait à entamer ses convictions ou bien détruire la Nature et le Beau qu'elle chérissait, son esprit froid et calculateur mettait en marche une croisade qu'elle plaçait au nom de la sagesse, contre l'intolérance et la bêtise humaines. Le forfaitaire de l'acte était alors égorgé, ou menacé sauvagement. Maeko agissait sous couvert de la nuit, se déplaçant comme une ombre, une dague en main. Son courage ne lui faisait pas défaut, et elle était alors prête à mourir pour chacune de ces excursions nocturnes. Cependant, il est à noter que ce genre de procédé, de psychopathie supposée et intrinsèque à l'ermite était d'une rareté somme toute relative.  

Maeko se satisfaisait de peu, mais insistons sur ses passions essentielles. Si nous avons davantage détaillé sa retraite spirituelle, elle s'engageait dans une voie de la cuisine très atypique, disposant seulement des outils de la nature. La chasse lui était aussi un passe-temps cher, s'interdisant toutefois le gros gibier, honorant ces bêtes plutôt que décidée à goûter leur chair. Enfin, elle appréciait de pouvoir grimper aux arbres, la faisant plus ressembler à un être des bois que tout autre lorsqu'elle s'y attelait.


Comment as-tu vécu ?
 
Ce récit constitue en partie le pan le plus sombre de l'existence de Maeko, qu'elle ne consent plus à se remémorer. « Le passé devant rester passé, songeons à avancer qu'à pourquoi nous avons chuté autrefois » serait sa parole.

Dans une contrée lointaine et cachée, celle de Vastia, vivait un homme amoureux d'une jeune bergère, Ostia. Il était fuyard, traître aux yeux de l'Empire Kou, en pleine extension, pliant par « annexion » les pays voisins. Cet homme, soldat du front avait déserté, ayant finalement réussi à parvenir jusqu'en ce pays, bordé par une épaisse forêt, dissimulant cette contrée. Shinku fut accueilli, et ses bras, entraînés à porter les armes durent se saisir d'outils pour le travail de la terre. Il était alors tombé sous le charme de cette jeune fille d'à peine 16 années qui fut trop honoré de s'offrir alliance avec cet homme, prétendument héros de son ancien peuple, selon ses propres mots. Il taisait la raison de sa venue à Vastia, seuls ses exploits faisaient écho aux oreilles d'Ostia. Elle fut séduite, naïve et innocente qu'elle était. Après deux fausses couches, la mère perdit toute joie de vivre, et l'union qu'elle avait vu sous un jour éclatant lui semblait dès lors nuageux et incertain. Finalement, elle put mettre au monde une petite fille. Après délibération avec le père, tenant à lui offrir un nom digne de l'Empire, elle fut nommée Maeko, fille de Shinku.

Elle grandit dans une affection des deux parents, qui cachaient encore d'autres fausses couches à leur fille. Jusqu'au jour où Ostia y laissa la vie. Le médecin, chargé des naissances, avait conclu que Shinku ne l'avait pas assez ménagée, exigeant sûrement une autre naissance, peut-être un homme pour guider sa descendance. Maeko avait alors six ans. Son père et elle quittèrent définitivement Vastia, les deux êtres étant alors jugés traîtres à la nation de Vastia, cité secrète. Le bagage de l'éternel traître, Shinku, s'alourdissait plus encore. Durant ce temps, le soldat fit tout ce qu'il put pour enseigner à sa fille ce qu'il savait de la chasse et de la survie dans un environnement que l'on jugerait d'abord hostile. Il lui fit comprendre le danger que représentait d'être hors d'une société, sans marque et sans aide possible. Toute force devait alors provenir de soi-même. La jeune fille écoutait attentivement, et son naturel peu loquace s'aiguisait encore. Elle ne parlait que très peu à son père, ils n'échangeaient entre eux que leurs activités silencieuses. Il porta une attention particulière à son éducation orale, au point qu'elle n'apprit jamais l'art de l'écriture.

Si le père n'était pas bon trappeur, au départ, l'expérience des deux êtres firent finalement d'eux d'excellents survivants. La petite Maeko de 10 ans progressait dans ces arts, sans patrie ni attache. Elle envisageait son monde autour d'elle comme une contrainte, ni haine envers son environnement ni ardeur. Cette vie n'était alors pas suffisante aux yeux du soldat, approchant de la quarantaine. Ne possédant plus que Maeko, il se jurait intérieurement de lui offrir une bien meilleure vie. Impossible qu'elle restât telle une vagabonde, sans foyer... Il lui fallait peut-être même trouver un parti. A Rehm ? A Sindoria, tout juste fondée par le célèbre Sinbad ? La question se posait encore. Mais qui voudrait alors de cette jeune sauvageonne, incapable d'écrire et dépourvue d'une éducation culturelle solide ? Cette constatation attrista Shinku, il ne voyait aucun moyen possible de lui offrir un destin. Son cœur était rongé par l'amertume d'avoir donné naissance à une fille qu'il n'assumait pas, tout autant peiné par le départ de sa jeune femme, Ostia.

Dans une explication de plus de trois heures, tandis que la journée se portait vers sa finalité, assis sur une souche, la jeune Maeko accroupie face à lui, Shinku lui expliqua avec émotion son ressenti. Elle ne broncha pas, son regard fixé dans celui de son père, perdu dans les ténèbres d'incompréhension du destin de sa fille. Quand il énonça le plan qu'il avait de porter atteinte à l'intégrité d'autres hommes afin d'épargner pour sa fille, elle changea radicalement d'humeur, et froidement, porta la main à sa dague. Plongeant dans un bond l'arme, offerte par son père quelques jours plus tôt pour son onzième anniversaire, dans le cœur du père qui ne fit pas un geste pour se protéger... Il quittait ce monde avec sa fille et ce froid acier qui lui rongeait l'intérieur. Dans un dernier regard, il était heureux... il n'avait plus le souci de la protéger, il n'était plus. Maeko tremblait, au-dessus du corps de son défunt géniteur, la main serrée autour de la garde de sa dague. Quelques larmes lui vinrent, elle pleura en silence alors que les derniers rayons du soleil se posaient sur ses joues rosies par cet événement. Quand elle sentit la douleur d'avoir perdu son père, elle se releva et ne voulut plus se rappeler de ce jour. Elle l'enterra, lui adressa quelques paroles et tourna le dos.

Des années après, Maeko fut toujours consciente qu'elle avait perdu le père qu'elle aimait après leur départ de Vastia, une ombre avait crû en lui et rien, pas même elle ne parvenait à freiner cela. En mettant fin à ses jours, de sa propre main, elle sauvegardait le souvenir d'une enfance plus radieuse et empêchait un père déjà par deux fois traître de noircir encore sa vie. A partir de ses 11 ans, orpheline, elle continua d'opérer sa survie durant près de deux années. Elle ne songeait à rien d'autre qu'à ce bête instinct de survie que Shinku avait instillé très fortement en elle. Cela ne faisait alors pas d'elle l'ombre déformée de son père ?

Quand elle fut sur son 13ème printemps, un souffle chaud lui parvint alors qu'elle pénétrait dans une clairière, toujours sur le continent central. Cette subtilité lui fit tourner la tête.. Elle y vit un grand loup blanc, piégé, meurtri d'une lance dans le poitrail, qui le rongeait. La bête semblait arriver en fin de souffrance, plus rien ne pouvait la sauver, témoins furent l'herbe cramoisie et les branchages vermeils. Maeko vit dans cette scène macabre une beauté troublante. Elle comprit alors que la créature lâchait son dernier râle qu'il n'y avait rien de plus sacré que la Nature et ses protecteurs. Elle se rendit compte du temps gâché, passé à la survie, alors que tout pouvait s'arrêter en un instant. Même le plus féroce des chasseurs pouvait rejoindre les autres Rukhs. Pour toujours se rappeler de cette règle d'or, elle dépeça l'animal avec minutie et son travail lui prit deux journées entières, tant la tâche était difficile, avec pour outil sa seule dague. Le port du manteau de fourrure lui rappela à tout jamais le caractère éphémère de son existence et la nécessité d'honorer la Nature comme seule guide et mère.

Peu à peu, les souvenirs de son enfance s'effacèrent en partie alors qu'elle coulait des jours sains, heureux, loin de tout. Elle se savait capable de tuer, mais aucune hantise ne survint, elle avait fait ce qui était bon. Après ses 15 ans, elle opéra un changement en elle, prenant toujours un temps de considération et de réflexion. La contemplation lui offrit peu à peu une certaine sagesse et bien que ne connaissant finalement que très peu de l'Humanité, elle réfléchissait sur des principes simples de vie. Sa confiance en elle s'étoffait tandis qu'elle cessait de sortir uniquement de nuit, elle put faire la rencontre d'hommes. Maeko ne s'en effraya pas, contrairement à eux. Inlassablement, elle suscitait surprise, effroi, curiosité ou l'intérêt de ces hommes-ci. Véritable vagabonde, elle ne restait pas plus de quelques mois, tout au plus un an proche d'une région, privilégiant les grandes forêts comme abri.

Quand elle était perçue en train de se laver, en pleine cueillette, ou en pleine contemplation, les hommes juraient avoir aperçu un Esprit. Elle avait un charme presque inhumain que beaucoup identifiaient comme surnaturel. Très simplement, cela s'expliquait par son non rattachement à une culture, par son évolution proche de la Nature qui la conduisit à devenir cet être, socialement défaillant mais si fascinant. Rapidement, les hommes qui la virent apparaître purent répandre dans leur village ce petit mythe, cette légende qu'ils exagéraient tantôt. Certains, armés de curiosité furent amenés à la retrouver, et Maeko se laissa docilement approchée. Au bout de plusieurs rencontres, forcées par ces hommes-ci, qui la cherchaient parfois des jours entiers, elle leur livra quelques paroles. Sa sagesse en étonna plus d'un et on l'identifia souvent comme l'Ermite. Telle fut son image, et certains tenaient à se voir offrir des conseils que l'on jugeait inestimables. D'autres étaient simplement désireux d'en savoir plus sur eux-mêmes. Maeko répondit le plus souvent favorablement à ces avances, leur offrant les bonnes grâces de la Nature.

Cependant, quelques hommes furent animés de détestables intentions. Quand elle put les sonder de son silence inquisiteur, elle leur offrit une paix éternelle, blessée de multiples fois, sans jamais que ces plaies ne mettent en péril sa vie toutefois. Trois occurrences de ces meurtres sont à relever. Alors agacée de cette région et de la bêtise ambiante, à ses 17 ans, elle quitta pour de bon le continent central et par un bateau de pêche put pénétrer sur l'île de Sindoria, se jetant à la mer à peine le bateau pénétrant dans la large baie. Personne n'eut le cran de la suivre sous les profondeurs. ..
Elle établit son « sanctuaire », son terrain de chasse et de vie dans la grande forêt à l'Ouest du continent. Et... naturellement, tout reprit comme précédemment, certains la virent, et de nouvelles rumeurs se répandaient fort similaires à quelques mois auparavant. Dans certains quartiers de Sindoria, l'Esprit, la Princesse des Bois étaient sur toutes les lèvres...




> Surnom : Euh... Maeko ?
> Âge : 22 ans
> Comment as-tu découvert le fofo ? Sinbad
> Code du règlement : C'est validé Maekouile


Dernière édition par Maeko le Dim 21 Mai - 21:18, édité 1 fois
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Magicien Violet

۞ 1ère apparition : 20/02/2014

۞ Rukhs : 258

۞ Rukh rose : Célibataire

۞ Localisation : !? TITUS QU'EST CE QU'ON FOUT LA?

Sphintus Carmen
Sphintus Carmen
Magicien Violet

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MessageSujet: Re: Maeko, Ermite ou Princesse des bois ? [Fini]   Maeko, Ermite ou Princesse des bois ? [Fini] EmptyDim 6 Nov - 18:31

Ca m'embête de ta valider alors que il y a pas d'autre commentaire... ;w; M'enfin ça n'empêchera pas les autres de commenter après! Tout est bon!
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۞ 1ère apparition : 17/07/2016

۞ Rukhs : 597

۞ Rukh rose : Un cœur solitaire, assombri par la Destinée...

۞ Localisation : Dans son Palais à Sindoria

Sinbad2
Sinbad2
Ancien Joueur

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MessageSujet: Re: Maeko, Ermite ou Princesse des bois ? [Fini]   Maeko, Ermite ou Princesse des bois ? [Fini] EmptyDim 6 Nov - 19:45


Maeko, Ermite ou Princesse des bois ? [Fini] Presen13

« Bienvenue Maeko, tu me vois honoré d'être en compagnie d'une si charmante plume ~

J'ose espérer que tu te plairas sur ce forum, autant que je le suis. Et que nous aurons l'occasion de RP ensemble, étant l'un de mes souhaits les plus chers et la raison de ta venue. »

- Sinbad, Roi des Sept Mers
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MessageSujet: Re: Maeko, Ermite ou Princesse des bois ? [Fini]   Maeko, Ermite ou Princesse des bois ? [Fini] Empty

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